finley - electric feel

█ Looked in the mirror today

Nom et prénom : henessy, patronyme lui venant de son père. Finley Elizabeth. Votre age : vingt-cinq belles années. Date et lieu de naissance : née le trois février à Mount Pleasant. Origines et nationalité : de nationalité américaine, en revanche elle a des origines islandaises lui venant de sa mère. Votre statut social : des plus aisés, son père a fait fortune dans le pétrole. Il va sans dire que Finley n'a jamais manqué de rien. Situation amoureuse : fraîchement célibataire, elle vient tout juste de se séparer de son petit ami, après une relation de plus de huit mois. Quelques traits de caractère : extravertie, déterminée, incontrôlable, élégante, attachante, anxieuse, minutieuse, organisée, le besoin de toujours contrôler, le sens de la répartie, autoritaire, impulsive, amusante, rancunière, caractérielle, têtue, névrosée, extravagante, givrée, soignée, souriante, manipulatrice, présomptueuse, impatiente. Avatar : leighton meester.

█ But now that I’m face to face
Nous te demandons de répondre à ces quelques questions afin de cerner ton personnage sur son aptitude à évoluer dans les intrigues.

— QUELLE SERAIT TA RÉACTION SI TU RECEVRAIS UNE LETTRE DE MENACE ? Je la lierai vaguement en biais avant de la jeter vulgairement à la poubelle. Ce ne sont pas quelques mots qui vont venir m'effrayer et m'empêcher de dormir. A vrai dire je cache tellement bien mes secrets les plus sombres que je ne suis inquiétée de rien quand à l'idée qu'ils ressortent un jour. Et si par un malheureux hasard ils devaient sortir à jour, je nierai tout en bloque. Et laissez moi vous dire qu'entre moi et une vulgaire personne qui s'amuse à colporter des rumeurs sur tout le monde, les gens finiront bien vite par me croire. Croyez-moi je suis tenace.
— UN DE TES VOISINS A DÉCOUVERT UN SECRET DE FAMILLE, COMMENT GÈRES-TU LA SITUATION ? Je le menace de faire bien pire si il divulgue la moindre chose sur moi. Enfin en second recours, avant tout j'essaierai bien évidemment d'être civilisé, faisant comprendre que je n'accepterai pas que ce petit secret de famille sorte au grand jour. En revanche si il persiste à vouloir le divulguer à tout le quartier, je me ferai alors un malin plaisir que de lui pourrir l'existence.
— MADAME HUBERS, CETTE VIELLE FRIPOUILLE SONNE À TA PORTE. TU L'INVITES À ENTRER, OU TU LUI FERME LA PORTE AU NEZ ? je me se gargarise de toutes sortes de potins émanant des quatre coins de la ville. Si bien même que je suis la première à colporter des rumeurs sur les habitants. Ainsi si cette chère Madame Hubert venait à frapper à ma porte, je me ferai un plaisir que de la faire rentrer pour que nous discutions ensemble des derniers potins croustillants. Puis on sait tous qu'il faut être près de ses amis, mais encore plus de ses ennemies.
— UN OPOSSUM A ENVAHI TON JARDIN, IL CREUSE DES TROUS UN PEU PARTOUT. TU COURS CHERCHER L'ARME À FEU QUE TU GARDES DANS L'ARMOIRE, TU LE LAISSES VIVRE SA VIE ? j'appelle le jardinier si sexy qui s'occupe des pelouses verdoyantes du quartier. Je ne me salirai pour le moins du monde, surtout pour un animal de la sorte. Puis si cela me permet de lorgner sur le derrière du jardinier je ne peux que m'en satisfaire.
— TU ES INVITÉ À UN BARBECUE CHEZ LA MEILLEURE CUISINIÈRE DU QUARTIER, MANQUE DE BOL, TON ENNEMI Y SERA AUSSI. QUE FAIS-TU ? c'est bien connu que je ne recul face à rien et encore moins face à une pimbêche qui me ferait de l'ombre ou qui m'insupporte. Non, je me ferai un malin plaisir que de m'y rendre.

█ Today I need a change of pace
Pseudo, prénom : mellow bird, charlotte. Votre age : vingt ans. Avatar : la belle Leighton Mester. Que pensez-vous du design ? : sublime. Comment avez-vous connu le forum ? : bazzart. Présence sur le forum : tous les jours, sauf si contre temps. Code du règlement : Ok by Juliet. Commentaire : je suis faible, et jess tu es le diable. finley - electric feel 3172189513

█ Thought I had so much to say
Confortablement installée dans le grand salon, je sirotais silencieusement mon thé à la rhubarbe tout en lisant le dernier magasine traitant sur les potins en rapport aux stars paru aujourd'hui dans la presse. J'appréciai ces moments de tranquillité pour me ressourcer. La gouvernante vint me déposer quelques petites douceurs sur la table. Je me jetais aussitôt allègrement dessus, n'ayant pas manger ce midi, préférant batifoler dans les draps avec ma dernière conquête de la soirée. Depuis que j'avais rompu avec mon dernier petit ami en date -cela remontait maintenant à plus d'un mois- je profitais pleinement de mon célibat. Et en parlant de profiter, Elias Bradford venait tout juste de passer l'entrebaillure de mon salon. Je restais à le regarder silencieusement, éprouvant un incontrôlable désir que d'attraper ses lèvres rosées et poser mes mains sur son corps qui me faisait défaillir. Mais je restais inerte, contrôlant mes désirs les plus fous. « Elias. Quelle agréable surprise. » dis-je tout en restant sagement à ma place. Nous nous connaissions depuis tant d'années que je ne comptais désormais plus. Il avait été mon premier amour, vous savez celui que vous rencontrez à l'âge de cinq ans et que vous pensez naïvement qu'il sera l'homme que vous épouserez et avec qui vous aurez des enfants, et bien c'était Elias. A cette âge nous n'avions conscience de rien, mais nous aimions nous tenir la main et nous faites des petits bisous timidement sur la bouche sous les yeux attendris des adultes. Puis nous nous étions perdus de vue, il avait changé d'école, et j'avais fini par trouver une autre amourette. Quelques années après, lors de notre adolescence, nous nous sommes retrouvés à nos seize ans. Il avait considérablement changé, un nouveau désir s'était emparée de moi. Nous nous fréquentions à nouveau, pour finalement retomber dans les bras l'un de l'autre. Cette fois-ci c'était beaucoup plus fougueux que notre amourette d'enfance. Nous étions conscient de l'amour, des sentiments amoureux que nous pouvions éprouver. Tout cela a duré quelques mois, avant de s'éloigner à nouveau. Je partais le temps d'une année étudier à l'étranger, l'Angleterre. Nous ne prenions aucune nouvelle, sachant que si nous devions nous revoir cela se ferait naturellement. Et effectivement aux alentours de mes vingt ans je croisais à nouveau le chemin du séducteur qu'était devenu Elias. Un homme tout a fait charmant et des plus attirants. Il ne nous fallu que très peu de temps avant que nous retombions dans les bras de l'un et de l'autre. Nous débutèrent alors une folle liaison, passionnée et fiévreuse de désir. Nous ne prenions rien au sérieux, nous vivions de notre amour et cela nous convenait. Nous aimions nous lancer des défis, repousser nos limites, tout n'était que plaisir. Mais tout bonne chose à une fin, sans trop savoir pourquoi nous nous sommes éloigner, perdant contact. Nous n'avions jamais été à proprement parlé un couple, nous étions seulement des amants. Puis aujourd'hui nous nous étions une bonne fois pour toute retrouvés. Mais les règles du jeu avaient changé cette fois-ci. Je ne tombais pas dans ses bras, il ne tombait pas dans les miens. Nous avons entamer un jeu de séduction, un jeu que nous n'avons jamais vraiment prit le temps de jouer. Je me plais à le repousser tout en m'amusant à l'attirer au plus près de moi. Un jeu que nous nous plaisons tout aussi lui que moi à jouer. Le désir n'en devient que plus brûlant. « Qu'est ce qui t'amènes? » demandai-je le plus naïvement possible. Je pu déceler le sourire taquin d'Elias. « Je passai dans le coin. » dit-il simplement se reposant le dos contre le mur, les bras sur la poitrine, me regardant droit dans les yeux sans sourciller. Je me levais soudainement, marchant lentement dans sa direction, ne perdant pas un instant son regard. « Je vois. » soufflai-je naturellement, parvenant enfin à la hauteur d'Elias. Je laissais mes doigts s'évader sur le torse du jeune homme, alors que mon souffle n'était plus qu'à quelques centimètres de ses lèvres. Il était serein, son calme ne m'étonnais guère et c'est ce que j'appréciais chez lui, qu'il me résiste, tout comme je lui résistais. Il me plaqua soudainement contre lui, venant poser ses mains derrière mon dos pour m'attirer à lui. Nos corps se touchaient, nos souffles se mêlaient et nos regards se croisaient envieux. « Je me disais que nous aurions pu nous divertir ensemble. » Je souris subtilement à sa proposition. Nous pourrions nous divertir de diverses façons, mais je devais avouer qu'en cet instant qu'une distraction m'intéressait franchement. Je me mordillais fiévreusement la lèvre inférieure. « Tu conduis ou je conduis ? » dis-je alors tout en me détachant de son étreinte, reculant de quelques pas, arquant un sourcil. « Je conduis. » lâcha t'il tout en remuant du bout de ses doigts les clés de sa voiture. Les sous-entendus s'étaient notre spécialité. Nous aimions nous chercher, nous tester, cela rendait les choses encore plus excitante.