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| | | envy jude (finie) → Dorénavant je veux qu’on m’appelle Sid Prince des Flammes. - Oh oh prince des flammes, t’as la queue qui crame ! |  |
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Invité | | Sujet: envy jude (finie) → Dorénavant je veux qu’on m’appelle Sid Prince des Flammes. - Oh oh prince des flammes, t’as la queue qui crame ! Mer 2 Mai - 7:01 | |
|  ❝ La passion est un feu si ardent que même un fois éteint, il nous habite encore longtemps. C’est une pulsion si puissante qu’elle nous pousse dans les bras d’amours improbables. C’est une sensation si bouleversante qu’elle peut briser les murs que l’on avait érigés pour protéger notre cœur. C’est un sentiment si intense qu’il refait surface malgré les efforts déployés pour l’enterrer. Oui, de toutes les émotions, la passion est celle qui nous donne une raison de vivre, et une excuse pour commettre toute sorte de crimes. Citation personnalisable ❞
█ Looked in the mirror today
Nom et prénom : Neely, oui je sais, un peu désuet, mais vous auriez grandis chez moi, vous comprendriez que j'ai eu de la chance Envy Jude, prétentieux et impossible à retenir. Tout le contraire de ce que je voudrais être, Derisbourg. Mes parents ne m'ont jamais appelés autrement qu'Envy, mais maintenant, on a plus tendance à préférer Jude. Peut m'importe. Jamais les deux sinon je crie, et autre chose, je ne me retournerais pas ! Vous savez quoi faire (a) Votre age : 22 ans, et toutes mes dents Date et lieu de naissance :11 février 1990 à Strasbourg, France. Oui, je parle aussi allemand, si vous vous posez la question ! Origines et nationalité : Françaises & Irlandaise (d'où les noms à consonance anglo-saxonne) Votre statut social : Je suis née, la cuillère en argent dans la bouche, mais mon indépendance prise, sans avoir du mal à joindre les deux bouts, je regarde cependant de près mes dépenses Situation amoureuse : célibataire Quelques traits de caractère : ouverte d'esprit - lunatique - affectueuse - hautaine - attachante - têtue - généreuse - jalouse Avatar : EmmahotWatson Groupe :KEEP A SECRET, et il compte rester bien gardé, c'est clair ?
█ Thought I had so much to say
 
« Héééé Eenn... v-vy! »
« Ta gueule ! »
J'aurais reconnu sa voix, son bégaiement entre milles, je ne m'arrêterais pas, je ne le regarderai pas. Cette fois j'allais baisser la tête et tracer. Mais, bien entendu, il ne voyait pas les choses de cet œil là, et je sentis mon sac m'échapper. Je n'allais pas le laisser me le voler, et je me retournais pour lui arracher. Toujours aussi grand, je pensais. Si il avait vraiment l'emporter, je n'aurais pas fait le poids. Il souriait, très content de son petit effet, je détestais son sourire. Il en usait avec excès lorsqu'il revenait trop tard d'une « soirée entre mecs » et que je poireautais deux heures, il aimait le servir quand il mentait et que je devinais tout. Ce putain de sourire de merde auquel je m'étais accrochée pendant deux ans.
«Tu, tu v-vas où ? Je... je t'a-t'accompaaagne ? »
Pitié, non. Mais, malheureusement, on ne m'a pas doté du muscle pour dire non. Il me tire par la manche, je me résigne. Cela fait deux semaines qu'on ne s'est pas vu. Depuis notre séparation, en fait, et, à l'évidence, il la vit mieux que mon ego ne peut le supporter.
« S'il te plait, Thybalt, tu veux bien au moins faire semblant d'être triste ? »
Il me regarde, un peu surpris. Il m'a toujours jugé trop sensible, trop fi-fille, et pourtant je ne le suis pas. « Tu m'emm... mme-e-rdes avec tes questions ». Sa réponse me fait sourire, le premier de la journée. Et ça m'énerve que ce soit grâce à lui : je le masque par un bâillement. Je ne dors plus très bien, pleurer ne soulage pas ma peine. Et trainer avec lui, non plus. Je m'arrête, il marche encore un peu seul, puis s'arrête, et sans se retourner il me demande : «Tu veux pas qu'on se remette ensemble ? ». Il est gonflé. Il sait très bien pourquoi je l'ai largué, il me doit des excuses. Tellement que je ne les compte plus. Il sait que si il se retourne, je suis à lui, tout de suite. Mais ce ne sera pas lui qui cèdera, il attendra, longtemps si il faut, mais il attendra que ce soit moi qui craque. Je le connais trop bien, il ne parlera pas. Cet instant ne tolère pas le bégaiement. Mais c'est pour ça, je pense. Pour ça que ça ne marchait, que tu l'as jeté. Parce qu'il ne peut pas être le faible dans l'histoire. Alors je marche, et je le double. Je ferme les yeux et je ne me retourne pas. Je donnerais cher pour avoir un aperçu de son expression cette après midi là, mais j'ai résisté. Pour moi, parce que j'avais décidé d'aller de l'avant, et qu'il ne pouvait pas me suivre. Il appartenait déjà au passé quand j'ai traversé, trop loin pour qu'il me voit : la nouvelle Envy n'était plus de celle qui se laisserait marcher sur les pieds, non elle était grande et forte.
 
Une bière, une autre encore, peut-être ? Oui, sans hésitation. Un shot, deux shot, trois. Un whisky coca, la tête me tourne. Un cocktail arrosé de vodka, un sourire du barman. Enfin, je m'achève au rhum, un joint déjà allumé dans l'autre main. Nico râle pour le principe « Pas de drogue dans mon bar, poupée ». Et c'est le premier à m'acheter ma came ce connard ! Mais cette fois, il fait que souffler un peu, j'ai envie de lui assener une tape sur la tête « tu viellis, gros ! », mais ma main manque sa cible, et je perd équilibre. Je tente de me rattraper au siège, mais déjà le sol se rapproche dangereusement. Ma tête le heurte dans un bruit sourd, je laisse échapper un sanglot. Aussitôt, je suis encerclée de toutes parts par les autres clients du dancing Alabama. Ils pensent si fort que je meurs d'envie de me boucher les oreilles : « pauvre enfant, quel âge a t-elle cette gamine ? ». L'haleine alcoolisée de mon voisin me ramène à la réalité. Il tente tant bien que mal de relever ma tête. Je me dégage, et déjà, je sens la nausée monter. Je me lève, et fonce derechef vers les sanitaires qui ne sont jamais très loin. Je suis quelqu'un de nature stratégique nous dirons. La lumière m'aveugle, je tatonne et finis par atteindre la cuvette et régurgite silencieusement. Vomir est rassurant, mon corps est encore en mesure de savoir ce qui est bon pour lui, il me débarrasse de toutes ces calories inutiles, mais l'ivresse reste la même. J'ai la tête qui tourne « tu perds le Nord, chérie » disait ma mère en riant, quand je m'aventurais à la contredire. Je m'allonge, enfin je me laisse tomber et appuie ma joue contre le carrelage glacé. J'ai l'impression de brûler de l'intérieur et le contraste rend la sensation d'autant plus désagréable. Je commence à retirer mon collant, mon pull. Une mains intercepte mon geste. Une main d'homme à l'évidence. « Arrêtez de vous déshabiller, s'il vous plait ». J'aimerai bien lui expliquer que je suis, à l'évidence, en train de prendre feu, la douleur se fait de plus en plus intense «Lâche, j'ai chaud !». Il retire sa main, j'envoie valser ma jupe et me redresse un peu pour retirer mon tee-shirt. Je me laisse tomber contre le sol, là, ça va mieux. Je ferme les yeux, et déjà le monde s'arrête de tourner. Je sens la présence toujours au dessus de moi, je veux lui faire signe de partir mais lui assène une claque sans le faire exprès. Il rit, et dans le noir, son rire sonne bien. « Tu peux me parler s'il te plait ? » Ma question bizarre le décontenance, je le sens avec précision. Mais il accepte. « Et bien la situation est pour le moins étrange : je m'attendais pas trop à cela en arrivant à Strasbourg! Enfin... toi t'es pas française, tu as un accent, non ? » Je dois grimacer, parce qu'il ajoute « Enfin, ne t'inquiète pas, ce n'est pas flagrant, c'est juste que je remarque ce genre de choses ! ». Il se tait. « Ouais, je suis Irlandaise. Mais j'ai grandis en France, donc c'est bizarre ». Il rit, encore. Cette fois j'ai envie de le voir rire, je prie pour ne pas être déçue, et j'ouvre les yeux sur un grand maigre d'apparence sympathique : il n'a pas cet air qu'ont les garçons dès qu'ils posent le regard sur moi, il a l'air plus amusé qu'autre chose. Un peu inquiet, aussi, mais cela lui va bien. Je commence à me relever, et sa main vient naturellement m'aider. Ces gestes sont souples, et ils ne s'attardent pas, sans pour autant me presser. Nous sortons du bar : la rue est déserte, le froid emplit mes poumons et fouette mon visage et je retrouve peu à peu mes facultés. Il est frigorifié, mais je vois que cela lui fait plaisir de me voir plus en forme. Le silence s'installe, mais il n'a rien de gênant. « Pourquoi tu bois ? ». Sa question me surprend, mais je sens qu'il la pose, intéressé Il n'a pas l'air d'être de ces gens qui vous sortent des formules polies toutes faites pour vous ignorer quand vous répondez : « Parce que je ne sais rien faire d'autre ». Il se tourne vers moi, cette fois son visage est plus dur. Mauvaise réponse. Tant pis, en fait j'men fous. Qu'est-ce qu'il fait encore là d'ailleurs ? «Ce sont les imbéciles qui sortent des trucs comme ça. Tu l'as pris dans quel mélo ? ». Il est sérieux l'enfoiré ? Je lui jette un regard noir. Dingue, comment il peut être lunatique ! « Si la réponse te fout les boules, fallait pas poser cette question. Allez dégage ! ». Il ne bouge pas, et voilà qu'il s'approche. « Je vais t'apprendre la vie, ma poule. Je pensais pourtant que t'étais sympathique, dans le genre. T'avais l'air comme ça ». Il me fait un peu peur avec son regard qui s'attarde trop, juste là où il ne faut pas. Il sort les mains de ses poches, m'agrippe le visage, et plaque ses lèvres froides contre les miennes. Je panique. Il se passe quoi au juste ? J'essaie de me dégager par un coup de rein qu'il prend pour un « oui ». J'étouffe un crie, il me mord la lèvre. J'ai envie de pleurer, comme toujours quand je bois. J'ai envie de pleurer sur ma journée de merde, et ma capacité à dégoter des psycopathe ou que j'aille. Ras le cul. Je le pousse de toutes mes forces, il n'a d'autres choix que de se détacher. Ses mains forment toujours un étau autour de ma taille : à l'évidence, je ne vais pas lui échapper contre son gré, il va falloir jouer plus tactique. Mais dans l'état dans lequel je suis, c'est peine perdue. Je sens les larmes rouler le long de mes joues, tomber jusque dans mon décolleté. Il sourie, se fait de moins en moins rassurant. Alors, soudain, je dégaine la fameuse bombe lacrymo de ma mère et la déclenche à deux centimètres et demi de son visage. Il essaie tant bien que mal de se protéger les yeux, mais je suis plus rapide, et il ne voit déjà plus. La douleur le fait vaciller en arrière, et comme si le Monde avait décidé que ce n'était pas mon soir, il trébuche sur un pavé et s'étale sur le sol, la tête la première, dans un bruit sourd. Je sanglote, j'aimerai qu'il se relève, presque qu'il me fasse regretter, mais il ne se décide pas. Je n'ai pas besoin de vérifier, le sang qui s'échappe de la plaie sur son front parle de lui-même. Je m'écarte. Je n'ai qu'à courir, après tout. Je joins rapidement le geste à la pensée. Je cours jusqu'à perdre haleine, et pourtant, je n'ai jamais été très sportive. Je cours, encore, et encore. Je n'ai sans doute jamais couru autant, et aussi vite que ce soir là. Le soir où j'ai tué un homme.
█ But now that I’m face to face
Nous te demandons de répondre à ces deux questions afin de cerner ton personnage sur son aptitude à évoluer dans les intrigues.
— QUELLE SERAIT TA RÉACTION SI TU RECEVRAIS UNE LETTRE DE MENACE ? Comment expier sa faute ? Comment réparer les dégâts ? Comment oublier ? Comment faire oublier, aussi ? Tant de questions sans réponses qui me font encore me retourner la nuit. Personne ne sait, tout va bien, c'est peut-être la seule chose de bien dans cette histoire maudite. Personne ne va douter de toi, la jolie fille rencontrée dans un bar. Une fille mignonne parmi tant d'autres, une jeune femme irréprochable, surtout. Issue d'une bonne famille, en apparence psychologiquement stable. So ? Mais comment se fait-il, qu'ici, deux ans plus tard, on vienne me rappeler cette histoire. Un ami, un parent ? Je n'ai pas besoin de cela, qu'il se rassure, je me punis suffisamment bien seule. Depuis, impossible de toucher, même d'approcher le moindre garçon, j'ai peur de moi, de chacun de mes gestes, je redoute sans cesse l'emportement. Et voilà qu'un certain anonyme se permet de juger l'instant le plus mémorable - en cela, dans le sens le plus détestable du terme, de toute une vie. Une salope, voilà ce que je suis aux yeux du lâche qui m'écrit à propos d'un acte auquel il n'a pas assisté, dont il ne connait pas les causes, ni les conséquences directes. Ce qu'il sait, en revanche, c'est déjà bien trop, à l'évidence. Il faut que je sache qui il est, pourquoi et comment sait-il ça, à quoi cela mène, ce qu'il attend de moi. Sait-il vraiment tout ? Rien n'est bien explicité dans ce mot écrit à la va-vite : peut-être est-ce juste une menace en l'air après tout, une tentative d'approche. Mouais, on aura vu mieux comme drague. Voilà, mieux vaut que je fasse comme si de rien n'était, ce n'est pas comme si l'Autre était en position de force, je ne suis pas de ces faibles, moi. Je vais attendre, L'attendre, bien tranquille. Ce n'est pas comme si j'avais le choix, après tout.
— UN DE TES VOISINS A DÉCOUVERT UN SECRET DE FAMILLE, COMMENT GÈRES-TU LA SITUATION ?
Hum... cela me semble plutôt improbable, ce voisin si malin a dû se tromper quelque part, et je vais me faire un plaisir d'aller le détromper. Qu'il se rassure, ma famille est du genre irréprochable : ma mère a grandit dans la banlieue parisienne, une enfance tranquille, des frères oubliés. Elle a rencontré mon père au lycée, après plusieurs histoires foireuses. Coup de foudre, forcément. Ils se sont installés à Strasbourg, où mon père a été muté, loin de son Irlande natale, après des étude de droit brillantes. Une vie de couple toute en simplicité, mais le pire c'est que ça leur convient. Et puis, une pilule oubliée, et deux vies bouleversées : ils ne voulaient pas d'enfants, mais il n'est pas question d'avorter. Neuf mois plus tard, je suis là. Depuis, rien n'a changé, ou presque : quelques disputes, des plats cassés, des larmes qui ne sont jamais versées bien longtemps. J'ai toujours été la priorité. Une vie morose, mais facile, que mon secret menaçait de bouleverser. J'ai donc laissé un grand vide une fois mon diplôme en poche, mais ils s'en remettront, forcément. Ils s'adaptent à tout, et à tout le monde. Ils n'ont rien à cacher, mais rien à offrir non plus. Que voulez vous reprocher à ce petit couple parfait du fin fond de la France qui ne vous a rien demandé ? J'aimerai bien le savoir, pour ma part. On peut s'attaquer à tout, je ne suis pas du genre à défendre les opprimés. Mais la famille, comme on dit, c'es sacré.
Maintenant, nous te demandons de décrire les manies de ton personnage, ces tics, ces gouts, les choses qu'il aime faire ou au contraire qu'il n'aime pas.
➀ elle parle quatre langues couramment : le français, l'allemand, l'anglais et le russe.
➁ elle veut devenir traductrice, la lecture et les langues étant ses passions
➂ elle danse très bien, elle a suivie des cours au conservatoire pendant de longues années
➃ elle a été violée, et depuis n'a pas eu de relations sexuelles
➄ elle a une santé fragile qui l'oblige à être attentive
➅ elle ne boit jamais de coca, ne serait-ce que pour ne pas faire comme tout le monde
█ Today I need a change of pace
Pseudo, prénom : ali(i)ce Votre age : 16 yo. Avatar : Emma Watson Que pensez-vous du design ? : J'aime beaucoup les couleurs pastels  , cela reste très simple. Parfait ! (: Comment avez-vous connu le forum ? : PRD, je rois Présence sur le forum : 5j/7 Code du règlement :season one Commentaire : 
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Dernière édition par N. Envy Jude Derisbourg le Jeu 3 Mai - 9:13, édité 18 fois |
| | | | Invité | | Sujet: Re: envy jude (finie) → Dorénavant je veux qu’on m’appelle Sid Prince des Flammes. - Oh oh prince des flammes, t’as la queue qui crame ! Mer 2 Mai - 7:01 | |
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| | | | Brooke Daniels ◗ POSTS : 2059
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| | Sujet: Re: envy jude (finie) → Dorénavant je veux qu’on m’appelle Sid Prince des Flammes. - Oh oh prince des flammes, t’as la queue qui crame ! Mer 2 Mai - 7:07 | |
| Bienvenue parmi nous  Emma est un super choix, tu veux que je te la réserve ? |
| | | | Invité | | Sujet: Re: envy jude (finie) → Dorénavant je veux qu’on m’appelle Sid Prince des Flammes. - Oh oh prince des flammes, t’as la queue qui crame ! Mer 2 Mai - 7:09 | |
| Merci (a) NINA  , tu m'accordes un lien ? ^^ Oui, avec plaisir, manquerait plus qu'on m'la pique  |
| | | | Brooke Daniels◗ POSTS : 2059
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| | Sujet: Re: envy jude (finie) → Dorénavant je veux qu’on m’appelle Sid Prince des Flammes. - Oh oh prince des flammes, t’as la queue qui crame ! Mer 2 Mai - 7:11 | |
| Bien sur que je te réserve un lien  Je file te la réserver, bonne fiche miss. N'hésite pas à nous rejoindre dans la partie flood  |
| | | | Invité | | Sujet: Re: envy jude (finie) → Dorénavant je veux qu’on m’appelle Sid Prince des Flammes. - Oh oh prince des flammes, t’as la queue qui crame ! Mer 2 Mai - 7:23 | |
| Bienvenue sur le forum et j'aime beaucoup Emma ! Bonne chance pour la suite de ta fiche. |
| | | | Invité | | Sujet: Re: envy jude (finie) → Dorénavant je veux qu’on m’appelle Sid Prince des Flammes. - Oh oh prince des flammes, t’as la queue qui crame ! Mer 2 Mai - 7:24 | |
| J'arrive au plus vite , mais j'aimerai bien finir ma fiche avant quand même  BLAKE  C'est un fuck*ng bon choix d'avatar ça  Merci !  |
| | | | Brooke Daniels◗ POSTS : 2059
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| | Sujet: Re: envy jude (finie) → Dorénavant je veux qu’on m’appelle Sid Prince des Flammes. - Oh oh prince des flammes, t’as la queue qui crame ! Mer 2 Mai - 7:40 | |
| Pas de soucis, on sera au rendez-vous |
| | | | Invité | | Sujet: Re: envy jude (finie) → Dorénavant je veux qu’on m’appelle Sid Prince des Flammes. - Oh oh prince des flammes, t’as la queue qui crame ! Mer 2 Mai - 7:57 | |
| Vous ne risquez pas d'attendre longtemps, je suis impatiente de RP !  |
| | | | Brooke Daniels◗ POSTS : 2059
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| | Sujet: Re: envy jude (finie) → Dorénavant je veux qu’on m’appelle Sid Prince des Flammes. - Oh oh prince des flammes, t’as la queue qui crame ! Mer 2 Mai - 8:03 | |
| Oh ça c'est un commentaire agréable à lire Vive le rp, fait attention quand même. Tu arrives au beau milieu d'un meurtre |
| | | | Invité | | Sujet: Re: envy jude (finie) → Dorénavant je veux qu’on m’appelle Sid Prince des Flammes. - Oh oh prince des flammes, t’as la queue qui crame ! Mer 2 Mai - 8:09 | |
| Juliet qui veux pas trop te faire peur  WELCOME en passant très jolie prénom  |
| | | | Brooke Daniels◗ POSTS : 2059
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| | Sujet: Re: envy jude (finie) → Dorénavant je veux qu’on m’appelle Sid Prince des Flammes. - Oh oh prince des flammes, t’as la queue qui crame ! Mer 2 Mai - 8:10 | |
| Je sais, je suis sadique  |
| | | | Invité | | Sujet: Re: envy jude (finie) → Dorénavant je veux qu’on m’appelle Sid Prince des Flammes. - Oh oh prince des flammes, t’as la queue qui crame ! Mer 2 Mai - 8:19 | |
| Lol, et pas qu'un peu apparemment  |
| | | | Invité | | Sujet: Re: envy jude (finie) → Dorénavant je veux qu’on m’appelle Sid Prince des Flammes. - Oh oh prince des flammes, t’as la queue qui crame ! Jeu 3 Mai - 2:17 | |
| Juliet : Plus y'a de meurtre & plus on rie !  Pas grave (a), j'aime les sadiques Shiloh : Ahh... mon bienvenue  ! Je réfléchis dès maintenant à ce que je te réserve  ^^ merci (a) |
| | | | Invité | | Sujet: Re: envy jude (finie) → Dorénavant je veux qu’on m’appelle Sid Prince des Flammes. - Oh oh prince des flammes, t’as la queue qui crame ! Jeu 3 Mai - 6:53 | |
| Ma fiche est finie !! Désolée pour le DP, mais je n'ai pas pu m'en empêcher (a) Bonne chance à celui, ou celle qui s'en chargera, ça va pas être du gâteau  J'aime bien qu'on me dise ce qu'on en pense, même si ce n'est pas que du bien (ou que du mal --' ) Merci d'avance |
| | | | Brooke Daniels◗ POSTS : 2059
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| | Sujet: Re: envy jude (finie) → Dorénavant je veux qu’on m’appelle Sid Prince des Flammes. - Oh oh prince des flammes, t’as la queue qui crame ! Jeu 3 Mai - 9:52 | |
| Très belle fiche, je te valide. |
| | | | Invité | | Sujet: Re: envy jude (finie) → Dorénavant je veux qu’on m’appelle Sid Prince des Flammes. - Oh oh prince des flammes, t’as la queue qui crame ! Ven 4 Mai - 5:23 | |
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| | | | Contenu sponsorisé | | Sujet: Re: envy jude (finie) → Dorénavant je veux qu’on m’appelle Sid Prince des Flammes. - Oh oh prince des flammes, t’as la queue qui crame ! | |
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| | | | | | envy jude (finie) → Dorénavant je veux qu’on m’appelle Sid Prince des Flammes. - Oh oh prince des flammes, t’as la queue qui crame ! | |
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