Bad puppy, don't bite

Abel Freeman & Terry onassis

Je n'aime pas voir quelqu'un flirter avec Dale ( et encore moins Dale flirter avec quelqu'un ) surtout quand je pense que ce Danny a des chances d'obtenir ce qu'il veut de la part de mon beau-frère/petit-ami-secret parce qu'il faut bien avouer que ce lycéen est plus que bien foutu et je me retrouve assez en lui quand j'avais son âge – le beau gosse qui se tape tout ce qui bouge. Et Dale bouge beaucoup. Et quand je le vois mettre sa main sur le bermuda de son camarade, mon sang ne fait qu'un tour même si c'est à cause des mauvaises conclusions. Je tiens plus à lui que ce que je laisse entendre mais je pense que Timon l'a remarqué, il n'est pas aussi idiot qu'il le laisse paraître même si parfois j'ai des doutes.

« Alors évite d'invité ce type chez toi. » je lui réponds parce que même si je n'ai pas envie de parler de la vie sexuelle de sa sœur ( parce que parler de la mienne ne me gêne aucunement ) je le ferais si il invite Danny. Et si jamais cela ne suffit pas, je lui indique que je coucherais avec Danny. Mais cela n'a pas l'effet que j'escomptais, Dale le prend mal, très mal même. Il va même jusqu'à me menacer de ne plus jamais me parler. Et c'est Dale, dans la définition de Dale il y a « parle tout le temps et à tout le monde pour dire des absurdités. ». Je peux le comprendre, après tout je couche déjà avec sa sœur alors si j'ajoute un autre à la liste surtout que je ne couche pas avec lui. Coucher avec Dale, j'en ai très envie et j'ai failli le faire jouir avec ma main avant d'être interrompu mais on n'en est pas encore là pour le plus grand malheur de l'adolescent qui ne pense qu'à perdre son pucelage. « Ne l'invite pas et je pourrais te montrer à quel point je suis vivant. » et comme il s'agit d'un adolescent à l'esprit pervers, je sais qu'il a compris avec quelle partie de mon corps je veux lui montrer que je suis vivant. Je lui souris et l'embrasse rapidement, je ne veux pas qu'on soit fâché à cause d'un stupide lycéen qui n'aurait jamais dû être ici à trois heure du matin.

« Okay … » je ne vois absolument pas où il veut en venir donc je le laisse continuer. Je n'ai pas l'impression que c'est un rendez-vous, on ne se cache pas pour un rendez-vous, on prévoit un rendez-vous mais si cela lui fait plaisir. Je le laisse continuer et je sens sa main aller dans une de mes poches. Pour y déposer un bracelet et pas ce à quoi je m'attendais de sa part. Évidemment je suis content qu'il m'ait fait un cadeau même si mon visage ne le montre pas mais je suis aussi surpris et gêné parce que je n'ai rien à lui offrir en retour. Et comment je peux refuser son cadeau avec sa tête ? Il est encore pire qu'un gamin de six ans qui ouvre ses cadeaux le matin de Noël. Je l'embrasse et je le fais reculer jusqu'à un arbre où je le plaque. Je ne suis pas tendre mais il sait que c'est ma façon de montrer mes sentiments. Je le laisse reprendre son souffle tandis que je mets une main dans son slip de bain. Je compte bien finir ce qu'on avait commencé pour le remercier, parce que j'en ai envie et aussi parce que si je ne le fais pas, il le fera dès qu'il sera dans son lit. Je quitte ses lèvres pour reprendre mon souffle et je viens embrasser sa nuque, laissant une marque de mon passage. Marquant mon territoire pour faire comprendre à tout le monde qu'il est pris, qu'il est à moi. « Laisse toi aller Timon, jouis dans ma main. » je lui murmure à l'oreille avant de mordre le lobe de son oreille tout en augmentant la vitesse de ma main. De mon autre main, je retiens ses deux mains pour l'empêcher de s'occuper de moi. C'est pour lui et rien que pour lui.

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Abel Freeman & Terry onassis

Je n'avais déjà plus envie de parler de Danny, car il n'y avait vraiment rien à dire. Bien sûr, qu'il était sexy et cela serait hypocrite de ma part de ne pas le reconnaitre. Mais, malgré mes hormones et ma forte envie de sauter le pas qui pourrait me pousser à le faire avec n'importe qui et n'importe où. Dés, que Danny disparaît de mon champ de vision, c'est plus que Terry qui m'importe. C'est grands yeux si beaux, cette barbe qu'il ne veut jamais raser et que je trouve seulement sexy chez lui. Car pour moi la barbe c'est pour les centenaires ou les bucherons et le policier est aucun des deux.

« J'aime pas les menaces ! » Malgré ce moment agréable alors que nous avons prit la fuite pour nous baigner dans l'étang alors que la ville dort et qu'il est trois heures du matin. Je n'aime pas vraiment la tournure que prend notre discussion. Car, j'aime pas la façon qu'à Terry de me menacer de quelque chose que je trouve d'horrible. Il ne doit même pas imaginer à quel point je souffre de le savoir coucher avec ma sœur. Moi, l'adolescent avec son imagination si débordante. Moi, qui n'a besoin qu'un murmure qui sort de leur chambre pour imaginer les choses les plus glauques. Cela me fait pleurer parfois, mais hors de question de lui montrer cette faille. « Oui...Un jour tu me montreras. » Car comme il devait l'avoir prévu, mon esprit pervers à tout de suite su attraper en vol sa perche. Il sait à quel point je suis impatient. J'en frémis rien qu'à l'idée, même si là tout de suite, j'ai plus des images de ma sœur et cela me glace le sang. Cela n'a rien de sexy, mais avec Terry je sais qu'il peut faire la pluie comme le beau temps sur moi.

Je décide alors de lui faire un présent car même si pour lui ce n'était qu'une balade et qu'il n'arrive pas à comprendre ce que je lui raconte. Alors, je glisse dans sa poche quelque chose qui m'appartient. Je m'attends à rien car je le connais. Les sentiments cela fait deux avec lui, mais c'est ce que j'aime chez Terry. Je veux pas le changer. Il est très bien comme il est. Me surprenant même il me plaque avec violence contre un arbre. J'en perds mon souffle et tout mon dos me fait atrocement mal, mais dans mes yeux il peut voir que je peux encaisser encore, car il m'enflamme entièrement quand il me traite ainsi. Je me laisse faire, docile. Ma virilité déjà au garde à vous avant même qu'il décide de s'en occuper à nouveau. Je gémis sous sa main et ses lèvres qui marquent ma nuque. « Et, comment, je vais expliquer cela à ma sœur demain au petit déjeuner, moi ? » J'aurais pu rire, mais je ne le fais pas, car je trouve cela injuste que je ne puis-ce pas m'occuper de lui. Sur le coup, j'ai envie de me débattre alors qu'il retient mes mains. J'alterne dans un regard entre soumission et colère. « Non...Tu n'as pas le droit, Ty'...Si tu t'occupes de moi...Je dois le faire aussi » Mais ses mots m’attisent complétement et comme l'adolescent complétement excité que je suis, je deviens Lucky Luke et je tire soudainement plus vite que mon ombre. Je baisse les yeux et je vois que je lui en ai mis tout partout, ma jouissance recouvrant sa main, son pantalon et ses chaussures. Dans l'extase de ce plaisir, je commence à pouffer de rire sentant ma virilité dégonfler dans sa main rêche et virile. Je peux soudainement plus m'arrêter de rire. « Bah...Merci...Si tu voyais ta tête ? Et, dire que tu vas devoir rentrer comme ça...»

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Je mentirais si je disais que personne à part Dale m'attire physiquement mais il n'y a qu'avec lui que j'ai réellement envie de coucher. Danny a beau être sexy, il n'est pas Timon ; et Margaret est devenue la petite-amie que je ne sais pas larguer. De là à lui dire ou à lui faire comprendre, il y a tout un monde cependant. Si ce n'était pas le frère de Margaret et qu'il aurait un an de plus, je lui aurais déjà montrer comment je suis au lit et il aurait des souvenirs à la place des fantasmes pour ses parties en solitaire. J'espère qu'il ne partage aucun cours avec ce Danny mais je suis déjà certains qu'ils n'ont pas le même cercle d'ami. Il a certes refusé ses avances mais il savait que j'étais là à regarder et je ne peux pas lui faire un speech sur la fidélité quand je ne le suis pas moi-même ( et encore moins quand j'avais son âge ).

« Alors ne l'invite pas. » je lui répète, ce Danny lui sauterait dessus dès que la porte de sa chambre sera fermé et je n'ai pas envie de prendre la place de Dale et de l'entendre faire ce qu'avec moi seul il devrait faire. Je n'ai aucune idée de l'impact de mes ébats avec sa sœur sur lui, du moins je n'imagine pas que cela à tant d'impact sur lui. « Bientôt Timon. » je lui révèle, cette petite escapade à l'étang m'a donné encore plus envie de lui et je vais avoir du mal à ne pas lui sauter dessus à la moindre occasion.

Bien que je ne comprends pas la raison de son cadeau, je suis tout de même heureux d'en recevoir un de sa part malheureusement je n'ai rien à lui donner en échange – je suis venu les mains vides à l'étang après tout. Pour le remercier, je viens l'embrasser et à cause de ce baiser j'ai envie de finir ce qu'on a commencé mais je ne cherche que son plaisir et pas le mien. Je viens alors le plaquer contre un arbre et commencer à faire bouger ma main dans son slip de bain. Je lui fais un suçon pour marquer mon territoire. « C'est ton problème. » je lui dis avec un sourire taquin alors que je le sens essayer de bouger ses mains pour venir me faire du bien aussi. « Tu ne me dois rien, et ce soir c'est toi, rien que toi. » je ne veux pas qu'il pense que vu que je lui fais plaisir, il doit me le faire. Il doit vouloir me faire plaisir pour le faire, ce n'est pas une obligation et je n'ai pas envie que cela en devienne une. Excité par tout à l'heure et par la situation, il se lâche rapidement et je le regarde tandis qu'il jouit. Vraiment sexy. J'ai un grand sourire sur les lèvres avant de me rendre compte que mon pantalon et mes chaussures ont été touché. Je l'embrasse pour le faire taire et après je rapproche ma main recouverte de sa bouche. « Lèche. » je lui ordonne, le plus sérieusement du monde. Maintenant qu'il a joui, il doit être bien moins excité et donc avoir bien moins envie d'obéir à ce genre d'ordre ou de me faire plaisir en retour. « Je suis sûr que ce n'est pas la première fois Timon. » je lui lance avec un sourire taquin.

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Je sens très bien que Terry est très sérieux quand il me parle de Danny. Est-ce qu'on est entrain de définir les règles ? Surement et je dois dire que cela me va comme ça. Je devrais faire un scandale. Je devrais le rendre jaloux à en crever en sautant Danny dans ma chambre alors qu'il dort avec ma sœur. Mais, je vois pas les choses comme ça. Il m'est impossible de lui avouer, mais je suis complétement à lui. Je me vois pas coucher avec quelqu'un d'autre que Terry. Je suis devenu accro à ses baisers et à ses caresses. Je dis pas que je fauterais pas avec un coup dans le nez, mais là je suis exclusif et cela me va très bien même s'il s'envoie ma sœur par tout les...bref, vous m'avez compris !

« Je fais ce que je veux. Tu n'as pas encore compris ça ? » Car entre ce que je ressens et ce que je montre, il y a deux mondes. J'ai encore peur de montrer mes vrais sentiments car j'ai peur de le faire fuir. Qu'est ce qu'il y a pas plus d'effrayant qu'un ado amoureux ? Et, je peux pas qu'il croit que tout est gagné d'avance (même si c'est le cas) «C'est bien...Avant tu changeais de sujet. Maintenant tu me réponds. On avance, c'est bien ! » Et, c'est tout ce que je lui demande au final. Je veux pas un jour, une heure et un lieu. Je sais que cela doit être spontané. Mais, maintenant il faut pas qu'il se plaigne suite à ce qu'il vient de me dire si je lui saute dessus dés que nous sommes tous seul. Petite note pour plus tard, prévoir toujours un préservatif dans une poche au cas où maintenant...

« Mon problème ? Donc, je peux dire au petit-déjeuner devant tout le monde que c'est toi qui me l'a fait alors que tu me branlais prés de l'étang ?» Moi et ma grande bouche, je peux jamais me la fermer, mais en même temps il me cherche. Il sait comme Margaret est intrusive dans ma vie. Il sait qu'elle va me poser un milliards de questions. Elle, qui fouille une fois par semaine ma chambre à la recherche de drogue, et qui m'empêche d'avoir tous magazines cochons ou jouets pour m'entrainer pour plus tard (mais j'ai trouvé une solution pour ça...toutefois c'est une autre histoire...) Je n'ai rien d'autre à ajouter alors qu'il me donne tant de plaisir avec sa main, un plaisir qui monte si vite que je me surprends moi-même. Surtout que ce n'était pas une toute petite jouissance. Je pouffe de rire, mais avec Terry cela ne dure jamais vraiment longtemps, surtout quand il rapproche sa main salie de ma bouche en m'ordonnant de lécher. « Non, je vais pas lécher ça, c'est dégueu ! Tu prends un mouchoir comme tout le monde... » Car je vais surprendre toute l’assistance, mais je n'ai jamais gouté cette partie de moi. Une part de moi à toujours trouvé cela pas très ragoutant, il faut dire quand on regarde de prêt...Mais là sous l'ordre de Terry, j'ouvre la bouche et je donne un maigre coup de langue. C'est corsé et acre, mais cela me déplait pas. « Bah si une première...avec toi...Est-ce que tu aimes me voir le lécher ? » Je continue alors mes jeux de langues ne le quittant pas des yeux.

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Je veux que Dale me soit fidèle – c'est une demande hypocrite quand on me connaît, je n'ai jamais été fidèle à une seule de mes petites-amies – et l'adolescent pourrait très bien refuser avec des arguments recevable mais il ne le fit pas, pour mon plus grand bonheur. Arrêter de coucher avec Margaret ne me gênerait pas mais cela éveillerait clairement ses soupçons bien que je ne la vois pas imaginer son frère et moi dans un autre type de relation que beau-frère qui emmerde toujours l'autre. Il n'a pas l'air de vouloir aller voir ailleurs, il aurait pu rentrer dans le jeu de Danny pour me rendre jaloux ( bien que même sans rentrer dans son jeu, j'étais déjà jaloux ). Il ne l'a peut-être pas remarqué mais je suis bien moins sexuel qu'avant avec sa sœur et c'est entièrement sa faute si je ne suis plus celui qui demande.

« Dis le gamin qui est encore au lycée, qui ne peut pas voter et encore moins boire. » je lui réplique et encore je n'ai pas mentionné qui a une sœur très (trop) investi dans son rôle de sœur. Je ne suis pas le type le plus à l'aise quand il s'agit de parler de sentiment, j'en suis même très loin. Je ne peux même pas dire ce que je ressens exactement pour Timon d'ailleurs mais je peux dire que c'est plus fort que pour sa sœur. « Après ce qu'on vient de faire, je peux répondre, non ? » On vient tout de même de se masturber mutuellement au bord d'un étang alors parler du sujet ne devrait pas être difficile. Avec ce qu'on vient de faire, je sais qu'il va en vouloir plus très vite et qu'il va encore plus chercher à mettre ses mains dans mon boxer. Par chance, j'ai toujours deux capotes dans mon porte-feuille. Ben quoi ? Il faut bien sortir couvert.

« Ta sœur ne te croira pas. » je lui réponds même si je ne suis pas aussi sûr que ce que j'ai l'air. Il y a toujours une possibilité pour qu'elle le croit. Évidemment si je n'avais pas laissé de trace, elle pourrait croire que ce n'est qu'un rêve et donc qu'il fantasme sur moi et apprendre au passage que son frère est attiré par les garçons. Je sais qu'elle fouille régulièrement sa chambre, je lui ai donné deux/trois astuces pour trouver les cachettes qu'un ado de son âge utilise et j'ai moi-même dû l'aider une ou deux fois et j'ai trouvé des choses que j'aurais préféré ne pas trouver.

Je continue de le masturber jusqu'à sa jouissance qui arrive rapidement, j'en ai connu qui ont duré plus longtemps mais je ne vais pas faire de remarque. Je remonte ma main et je lui demande de la lécher. Il refuse d'abord mais il suit rapidement mon ordre. « Beaucoup. » je réponds à sa question avec un sourire tandis qu'il continue. Une fois finie, je le regarde avec l'envie de lui faire connaître encore plus mais pas ici, pas maintenant. « Finalement tu peux être doué pour suivre les ordres. »

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Abel Freeman & Terry onassis

Je déteste quand Terry m'infantilise comme ça. Je suis plus un gamin, déjà mon corps change, je deviens un homme et je parle pas uniquement de ma virilité, qu'il a eu en main et qui a tout d'un jeune homme en devenir. Mais, dans ma tête je pense déjà à mon avenir, à quel fac je vais aller, ce que je vais faire dans ma vie. L'homme que je vais être et je suis déjà entrain de faire mes choix, comme mes erreurs. Ici, j'ai fait le choix de vivre cette chose que nous n'avions pas le droit de vivre. Même si je sais que le jour ou ma sœur l'apprendra nous sommes deux hommes morts. Mais, pour l'instant je m’inquiète pas de cela. Je suis bien avec Terry. Je suis égoïste et je l'assume entièrement.

« Un jour tout cela changera et peut-être plus tôt que tu ne le crois.» Je vois que je suis entrain de mettre Terry mal à l'aise sur le sujet de ce que nous sommes entrain de devenir. Je me vexe pas. Je suis attendri par sa réserve. Je le regarde juste avec ses grands yeux, car je le trouve magnifique et que (même si je préfère crever que de l'avouer) je l'aime. J'aime cette homme qui me donne tant de forces et d'envie de grandir plus vite. Quand je le regarde comme ça, avec la lune qui nous berce et qui rend cela si romantique, j'ai envie de penser que je serais amoureux de lui jusqu'à la fin de ma vie. « Tu peux dire ce que tu veux. Je n'en penserais pas moins. Je...J'aime être avec toi. » Je dérive et je parle plus vraiment du sexe, mais si je ne l'oublie pas. Pour moi c'est un global, le jour ou je coucherais avec Terry. Cela sera aussi le jour ou il me marquera comme sa propriété car je ne pourrais jamais coucher avec quelqu'un que je n'aime pas. Mais est-ce que j'aurais la force de lui avouer ?

« Et, tant mieux, non ? J'ai pas envie que nous deux cela s'arrête...» Car c'est ce qui se passera si ma sœur apprend pour nous deux. Je sais que Terry est d'un naturel combatif, mais aller combattre toute une famille et peut être toute une ville. Je sais qu'en plus Margaret lui ferra vivre un enfer, elle serait bien capable d'aller parler à ses collègues. En plus, le regard des autres, ils sont tellement hypocrites. Combien d'hommes de cette ville de quarante-ans sont avec des petites jeunes de vingt-cinq ans. Et, cela choque personne, c'est presque normal. Mais moi et Terry, cela le classerait directement dans la case des prédateurs sexuels. Mais, moi je m'en fiche de notre âge. Je suis pas tombé amoureux de lui car il était plus vieux. Je suis tombé amoureux car c'était lui tout simplement.

« Bien...Je note pour plus tard si j'ai envie de t'exciter.» Je parle bien sûr de ma façon de lui lécher la main pour suivre son ordre. Terry me garde toujours en son emprise, mais mes yeux deviennent plus sombres soudainement suite à ses derniers mots. Je décide alors de sortir les crocs et je lui mord sans compromis la main. J'arrive ainsi à me libérer et je commence à prendre la fuite.« Tu rêves ! Je suis trop sauvage pour toi ! Tu vas encore devoir me dresser avant que j'obéisse.» Je cours alors à en perdre haleine et je rentre chez moi. Je m'amuse même à fermer la porte à double tour, laissant dehors Terry. J'aimerais bien savoir comment il va s'en sortir là ? Je reste coller à la porte attendant ses menaces ou ses tentatives de m'amadouer.« Quoi ? La porte est fermée ? Comme c'est étrange...Je me demande comment tu vas expliquer cela à ma sœur si elle doit descendre ? Elle va peut-être croire que tu as une maitresse ou que tu es un loup-garou ? »Tout en chuchotant à travers la porte pour pas réveiller la maison, je m'adresse au policier.

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Abel Freeman & Terry onassis

Dale essaye de grandir trop vite alors qu'il devrait profiter de sa jeunesse parce qu'avec le temps vient de plus en plus de responsabilité et on pardonne plus facilement à un gamin qu'à un adulte. Je n'ai pas qu'il grandisse trop vite à cause de moi parce que je pense qu'il essaye de sauter des étapes pour que je ne le vois plus comme un gamin et qu'enfin j'accède à sa requête qu'il répète, répète et répète encore. Le lycée va bientôt se terminait pour lui et je ne sais même pas ce qu'il a prévu de faire par la suite. Le mieux pour son avenir serait qu'il part pour une grande université et il n'y en a pas dans le coin. Le mieux pour notre relation est qu'il se décide pour la fac du coin et je le forcerais à continuer les études, qu'il ne quitte pas l'école avec juste le diplôme de fin de lycée.

C'est moi où il allait dire je t'aime ? Non, je dois imaginer des choses. Je ne suis pas prêt pour cela, ce n'est qu'un adolescent et les ados changent leur coup de cœur tous les jours, non ? C'est ce que j'essaye de me dire mais je n'arrive même pas à me croire. Comment peut-il être si sûr de ses sentiments alors que je suis encore confus ? Ça doit être les hormones qui parlent. Je ne lie pas forcément le sexe à l'amour, cela fait bien longtemps que j'ai fait la distinction. Le sexe peut ne servir qu'à se faire du bien comme il peut servir à montrer ses sentiments envers une personne et autant dire que je connais surtout le premier aspect.

Je n'ai pas envie que notre relation s'arrête aussi, sa sœur nous tuerait si jamais elle découvrait même si je ne suis pas encore allé aussi loin avec Dale que cela. Des baisers, beaucoup de baiser, et une masturbation. Rien de plus, rien de moins. Ah si, des sentiments aussi. Je ne sais pas comment je réagirais si notre relation devient publiquement connu. Me battre contre les regards de la ville, je peux gérer, contre Margaret aussi mais contre toute la famille Freeman ? Non et je ne veux pas mettre Dale dans cette position. Si Dale avait un an de plus, cela changerait déjà beaucoup dans le regard des autres, il passerait de l'adolescent mineur au jeune adulte majeur et par la même occasion je passerais pour l'infidèle prédateur sexuel à l'infidèle.

Aouch ! Il vient de me mordre ! Je le lâche à cause de la surprise et il recommence à courir. Il a vraiment de l'énergie à revendre ce gamin. J'essaye de le rattraper mais il a pris trop d'avance sur moi et il a le temps de fermer la porte à clef. Et en plus il me nargue ! « Tu vas le payer, gamin. » je lui dis avant de passer derrière la maison. Je ne suis pas monté à la fenêtre de Margaret depuis des siècles mais je me souviens très bien de comment je fais. Je suis un bien meilleur escaladeur qu'il le pense en plus je sais que ma petite-amie n'a pas fermé sa fenêtre. Je monte donc jusque sa fenêtre et je me déshabille pour ensuite aller dormir à côté de Margaret, en pensant à Dale dont je tiens le cadeau entre mes doigts.