Bad puppy, don't bite

Abel Freeman & Terry onassis

J'étais en colère. Non, j'étais furieux et incapable de garder les draps. Je regardais mon radio réveil. 3 heures du matin...J'essayai alors comme tout adolescent de calmer cette agitation en glissant une main dans mon slip spider-man, mais même avec toute l'application que je pouvais y mettre. Je n'arrivai à rien sauf à me faire mal, car j'avais toujours ces images en tête. Grognant comme un chien prêt à mordre, je décidai d'enfin quitter mon lit pour descendre à la cuisine. J'enfilai avant de quitter ma chambre mon bermuda noir, tombant sous mes genoux et mon fameux duo chemise rayé à manche courte et tee-shirt. Malgré mon envie de réveiller toute la maisonnée en descendant les escaliers quatre à quatre. J'essayai d'être le plus discret possible, surtout mon petit frère qui avait des nuits très difficile en ce moment. Une fois en bas, je déboulai dans la cuisine dans un léger dérapage de mes pieds nus sur le carrelage humide. Mode surfeur du dimanche et je me dirigai vers la seule chose qui allait me calmer: la nourriture. Je sortis le méga pot familier du freezer et je m'installai devant avec une toute petite cuillère. C'est que j'avais bien décidé de faire durer le plaisir et cela même si je devais en faire une indigestion.

Pourquoi j'étais en colère ? Car, en plus de savoir Terry sous le même toit que moi, obligé ce soir de ne même pas s'adresser un regard ou un geste qui nous trahirait. Je l'avais entendu la moitié de la nuit tringler faire l'amour à ma sœur. Il savait pourtant que nos chambres étaient contiguës. Je pouvais pas croire le connaissant que ce n'était qu'un hasard. Moi, souffrant le martyr dans mon lit avec mon oreiller sur la tête. Ce qui ne sert à rien je tiens à le souligner pour les cris perçants. Marmonnant tout seul devant ma glace, après ma vingtaine bouchée. J'étais arrivé à la réflexion qu'il l'avait fait exprès. Moi, qui rêvait d'enfin sauter le pas avec lui et lui offrir ce que je n'avais jamais offert à personne. Mais à chaque fois cela le faisait doucement rire sans vouloir me donner une explication comme s'il me pensait pas prêt.

Quand je vis débarqué sa houppette et sa barbe mal rasée dans l’embrasure de la cuisine. Je me suis demandé un instant si je ne rêvais pas. Mais non, il était bien devant moi. Tant mieux, j'avais beaucoup de choses à lui dire. Bien décidé à montrer ma colère de petit roquet, je ne lui adressai même pas un regard et quand je le vis approché du dernier cookie dans l'assiette laissé par ma mère. Je lui dérobai des mains et je l'avalai en entier. « Désolé ! La maison est vide ! Mais, retourne entre les cuisses de ma soeur, tu as du laisser des miettes ! »

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Je ne pouvais plus m'empêcher de le manger du regard depuis son arrivé dans la cuisine, même si toutes les lumières étaient presque éteintes. Je ne manquais rien de son torse puissant, ses biceps imposants. Ce torse que j'avais touché, arpenté de mes mains, lors de nos longues soirées à l'arrière de sa voiture où la salle de repos du poste de police quand Terry était de garde seul. Mais mon regard d'adolescent pervers sombra bien plus bas pour fixer son boxer noir. Nous avions eu droit jusqu'à présent à nous toucher tout habillé, à sentir l'excitation de l'autre, mais dés que mes mains voulaient descendre plus bas, Terry m'arrêtait. J'avais tellement envi...Quand le policier se glissa derrière moi pour me glisser à l'oreille ce que mon esprit de jeune puceau souhaitait ardemment, j'en perdis ma cuillère. Elle tomba sous la table de la cuisine. Quel idiot ! J'aurais pu me donner des baffes. Bien sûr, que j'en mourrai d'envie.« C'est pas faute de te demander...» Ses mains sur mon tee-shirt, j'étais déjà en transe. Terry avait un tel pouvoir sur moi. Et, quand il m'embrassa, comme possédé, je relâchai ma tête en arrière tout en fermant les yeux, m'offrant complétement et sans aucune retenue quand il me touchait. Ma main remonta dans ses cheveux, mais sa phrase me piqua au vif. J'avais besoin de savoir.

Je coupais net ce baiser qui m'avait rendu aussi rouge que la crème glacée à la fraise dans son pot. Je sautais loin de mon siège et je lançai mon poing contre son torse, ce qui devait faire autant de mal qu'une brise d'été. « Non, cela m'a pas excité !», commençai-je à monter le ton me moquant bien de réveiller la maison. « Je suis quoi pour toi à la fin ?! Cela fait quoi, trois semaines que je rapplique dés que tu m'appelles ? On s'embrasse jusqu'à que tu décides que c'est terminé. Je suis quoi ? Un clébard ?» Colère que je passais en attrapant la première chose qui me passa dans le main pour le jeter au visage du brun qui me faisait complétement craqué. Dommage pour Terry, ma mère n'avait pas rangé les œufs dans le frigo...

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Cela aurait été les parents de Margaret et Dale, je serais remonté dans la chambre mettre un bas de pyjama et un tee-shirt pour ne pas me montrer en simple boxer mais c'était Dale. Le jeune homme qui ne m'avait encore jamais vu aussi peu habillé mais qui avait essayé – et à de nombreuses reprises – de toucher tout mon corps. Après avoir couché avec sa sœur, c'est le moins que je puisse faire, non ? Je trouve amusant de le voir s'exciter autant avec si peu. C'est bien un adolescent rempli d'hormones. La cuillère tombe dans un bruit assez fort vu le silence de la maison. Pour éviter de lui répondre, je viens l'embrasser tout en touchant son torse. Je sais que mes baisers m'ont permis plus d'une fois d'éviter une dispute. Effectivement Dale me demande très souvent de passer le pas, de faire plus que de s'embrasser mais je ne le pense pas prêt et je n'ai pas envie qu'il regrette d'avoir fait sa première fois avec moi. Mais jamais je ne lui dirais ça, j'ai une réputation à sauver.

Dale stoppa le baiser, une chose des plus étonnante à mon goût et en plus c'est pour continuer sur un sujet que je n'ai pas vraiment envie d'aborder sachant que ma petite-amie se trouve dans cette maison. « Je suis pas ... » mais je fus coupé par un œuf atterrissant dans mes cheveux. Je le regarde surpris puis énervé avant de lui lancer à mon tour deux œufs à la figure. J'allais sortir une connerie, disant que je ne suis pas zoophile donc ce n'est pas un chien, donc c'est peut être une bonne chose que je sois coupé. Il est quoi pour moi ? D'abord un hom … adolescent super sexy qui parle trop, ensuite le frère de ma petite-amie que j'ai envie de quitter pour lui, enfin un homm … adolescent que j'aimerais faire taire avec mes lèvres pendant un long moment. « Si ça te dérange tant que ça, ne viens pas quand je t'appelle ! » ça me rendrait la tâche beaucoup plus facile pour être fidèle. « Je t'ai jamais rien promis de sérieux Timon. » et je regrette aussitôt d'avoir dit cela mais je ne peux pas le retirer. Voilà une autre raison pour laquelle je ne parle pas beaucoup, les mots peuvent dépasser ma pensée surtout dans ce cas où je veux vraiment quelque chose de sérieux avec lui mais je ne sais pas comment plaquer sa sœur pour être avec lui sans que sa famille me déteste en plus il n'a que dix-sept ans. « Et je suis quoi pour toi ? Le gars avec qui tu comptes te débarrasser de ta virginité et jamais revoir ? » maintenant je devrais me taire avant de me rendre encore plus ridicule. Je me retourne et fais couler l'eau du robinet pour nettoyer le mieux possible mes cheveux et peut être aussi cacher mon visage.

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J'avais le même caractère emporté que lui et je m'en cachai jamais. Peut-être c'est ce qui lui avait plu chez moi ? J'étais emporté. Un vrai ouragan. Comme il y a quelques jours ou tellement énervé d'être éconduit pour la énième fois à l'arrière de sa voiture car soit disant cela devait trop " chaud " J'avais claqué la porte et j'étais rentré à pied sous la pieds malgré ses supplications. Donc, oui j'étais un emporté, comme dans cette cuisine. Je créais une situation de conflit en jetant un oeuf au visage de Terry. Geste que je je regretai aussitôt ou qui plutôt me fit pouffer de rire alors qu'il s'apprêtait à me dire quelque chose. J'étais un ado, je rigolai pour un rien et voyant le jaune dégouliné sur le visage que je trouvais si parfait du policier. Je continuai de pouffer jusqu'à que mon voisin m'apprenne la dur loi de l'arroseur arrosé. Je me pris deux œufs en pleine figure. Je rigolai tout de suite moins. Je retirai d'abord ma chemise pour m'essuyer les visage. Quels gamins nous faisions. « Tu as raison, je vais arrêter de venir quand tu appelles ! », tonnai-je en jetant ma chemise en sa direction. Bien-sûr mon geste emporté espérait qu'il se prenne le vêtement dégoutant en pleine figure. Mais avec ma force de lilliputien, ma chemise tomba juste devant moi et à des kilomètres du policier qui allait bien rire. Moi, j'étais triste à présent, triste par ses paroles.« Oui...Tu m'as rien promis en effet...» Déjà, j'espérais quoi ? Que Ty' abandonne tout pour être mon petit ami ? Qu'est ce qu'on rirait de nous dans la rue. J'avais que 17 ans. Qui voudrais se mettre avec un ado ? Mais, alors nous étions quoi ?

Je restai sans voix devant sa réflexion alors qu'il était de dos à présent devant l'évier. Tellement dépité, que j'étais prêt à quitter la cuisine sans lui adresser une parole. Et, même c'est ce que j'ai fait, allant jusqu'à poser un pied dans l'escalier. Puis, non, nous pouvions pas en rester là. Je revenais avec emportement dans la cuisine. « Moi ? Je me sers de toi ? Tu te moques de moi ? » Dans une sorte d'état second, si proche de lui, je retirai mon tee-shirt tout couvert de jaune, je le roulai en boule. Découvrant moi aussi pour la première fois, ce torse pas si mal fait pour un ado de mon âge. « Combien de fois j'aurais pu te mettre dans la merde ? A ton boulot, devant tes collègues, devant ma sœur ? Tu es flic, je pourrais te faire virer !» Retenant mon bras, mon tee-shirt dans ma main. On pouvait voir tout mon trouble dans les traits de mon visage. « Mais, je le verrais jamais...Car, je tiens à toi, Ty'...Vraiment.» J'étais ému car je pensais pas lui dire ses mots. Une sorte de déclaration qui me retourna l'estomac.

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Je ne suis pas le genre d'homme à rester calme, je m'emporte même plutôt facilement et cela a été très difficile de ne pas sauter sur Dale dès que j'en ai eu l'occasion et d'attendre aussi longtemps, tout comme c'est dur de refuser d'aller plus loin avec lui alors que j'en meurs d'envie. Quoi ? Vous l'avez vu ? Comment lui résister ? Je suis plus attaché à lui que je lui montre et je compte bien le faire rester ainsi. Le problème c'est qu'il s'emporte aussi facilement que moi sauf qu'en plus il a des réactions de gamin qui me rappellent qu'il est encore un gamin et non un homme. On pouvait croire que j'utilise son trop plein d'hormones pour le manipuler et coucher avec lui. C'est plutôt lui qui essaye de me faire coucher avec lui. Je suis même certain qu'il serait capable de coucher avec moi sur la table de la cuisine alors que je viens de coucher avec sa sœur.

Recevant un œuf en plein visage, je ne réfléchis pas et je lui en envoie deux en réponse et je sais mieux viser que lui. Je regrette aussitôt ce que je viens de dire. Je n'ai pas envie qu'il arrête de venir quand je veux le voir. C'est la colère qui parle et il est trop loin pour que je lui claque l'arrière de sa tête comme j'en ai l'habitude. Je le vois me jeter sa chemise … enfin essayer de me la jeter. Je le regarde, amusé en retenant un rire. Alors que je suis sous l'eau du robinet pour retirer le jaune de l'oeuf, il revient dans la cuisine et continue notre dispute. Il me menace, du moins je le prends ainsi. Je me retourne, prêt à me jeter sur lui mais je le vois torse nu. Et mon sang quitte mon cerveau pour une autre région situé sous mon seul vêtement. J'avale ma salive difficilement devant la vue de son torse. J'ai le droit à une presque-déclaration d'amour en plus. Mais c'est un gamin, il doit avoir des béguins différents tous les jours. C'est ce que j'essaye de me dire en tout cas. Mes cheveux mouillés, mais plus propre, je m'approche de lui et je le plaque contre le mur le plus proche sans gentillesse. [colorroyal=blue]« Ne me menace plus jamais, compris ? »[/color] je lui dis avec froideur. Je l'embrasse ensuite, passant du froid au chaud. Je passe mes mains sous ses fesses pour le porter et je le pose sur la table de la cuisine où je l'allonge pour ensuite me mettre au dessus de lui. Je le sens aussi réceptif que moi à ce baiser sous son slip spider-man. Je l'empêche de descendre ses mains en les serrant dans les miennes tandis que nos langue se rencontrent une nouvelle fois. Le baiser dure bien cinq minutes avant que j'arrête tout et que je me recule … avec un chapiteau en guise de boxer. On ne peut pas aller plus loin. Pas maintenant. « Comment je suis censé quitter ta sœur et sortir avec toi sans me faire haïr par toute ta famille ? » je lui demande, le plus sérieusement du monde histoire de couper notre excitation et l'empêcher de me demander d'aller plus loin comme il en a l'habitude.

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Je le déteste et je l'aime. Je sais dit comme cela, ça fait béguin d'adolescent. Ce que je ressens pour Terry, c'est plus fort. Il est le premier à qui je pense tous les jours. Il est le premier que je harcèle de sms jours et nuits, de message complétement idiot. Au point qu'il n’arrête pas de grogner quand il me voit débarquer. Mais, je sais qu'au fond de lui (bah j'espère...) que cela lui faisait plaisir. Ma manière à moi de lui dire qu'il manque de façon détourner.

Toutefois, j'ai besoin de savoir et c'est pour cela que je suis énervé à lui balancer des œufs à la figure. Je lui demande pas grande chose finalement. Je veux savoir ce que je suis pour lui. Un amusement ? Un passe-temps sympa ? C'est pour cela que je reviens à l'assaut, ayant retiré mon dernier haut pour découvrir mon torse d'adolescent qui ne loupe pas une séance de gym. Mon regard s’enflamme en voyant le policier les cheveux mouillés et cette nouvelle bosse dans son boxer. Comme un coup de fouet, mes pommettes rougissent. J'encaisse avec difficulté quand il me plaque contre le mur. Je le trouve tellement beau et excitant que dans mon sous-vêtement mon sucre d'orge se met lui aussi à faire parler de lui. «  Je fais ce que je veux. J'ai pas d'ordre à recevoir de toi ! » Et, pourtant malgré cette tension, je fonds à nouveau quand il m'embrasse, allant même juste à gémir quand il passe ses mains sous mes fesses pour me poser sur la table de la cuisine. Je me noie dans ses yeux, avec ce regard lui montrant que j'étais à lui entièrement et sans aucune limite. Je passe alors mes jambes autour de lui, nos mains jointes comme nos langues. Je me perds dans sa bouche qui me dévore la mâchoire. Je titille hésitant sa langue avec cette inexpérience dû à mon âge. Enfin, comme possédé, je commence à léger mouvement de hanches pour me frotter au monstre qui rugissait sous son moteur.

Toutefois, comme à son habitude alors que je gémie de plus en plus fort au point que mon plaisir se fait entendre dans toute la cuisine, je le sens reculer, observant déçu nos deux excitations, un chapiteau géant pour Terry et moi le chapiteau jeunesse qui me complexait parfois. Sa réaction me donna encore envie de m'énerver, mais sa phrase me laissa d'abord sans voix. Il voulait ? Vraiment ?! Avec moi ? C'était la plus belle déclaration qu'il aurait pu me faire. Toujours sur la table de la cuisine, je remontai mon regard pour le regarder dans les yeux tout en posant le pop de glace sur ce qui me complexait. «  Je serais heureux si on pouvait sortir ensemble...Moi, je te détesterais pas quoi qu'il arrive... » Mais, j'avais pas la réponse à sa question, alors je sautais de la table pour me pendre à son cou avec mes yeux fou-fou car je sentais son trouble et que je voulais jamais voir triste Terry. «  Allez ! Faisons un truc complétement fou ! Il est trois heures du matin ! Allons nous baigner dans l'étang tout prêt. Dis oui !! Sinon, j'y vais tout seul et qui sait sur quel détraqué je vais tomber.»

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Est-ce-que je l'aime ? Je ne sais pas mais je tiens plus à lui qu'à Margaret et c'est étrangement la raison pour laquelle je ne la plaque pas pour être avec lui. Non seulement je me ferais haïr de toute la famille mais la relation entre Dale et sa sœur prendrait un sacré coup de plus je ne connais pas la position de leur famille sur l'homosexualité mais j'ai une assez bonne idée de leur opinion sur ceux qui ''volent'' le petit-ami de l'autre. Sur le papier, j'ai toutes les raisons de vouloir être avec Margaret plutôt que d'être avec Timon. C'est encore un adolescent, c'est une adulte ; c'est un homme, elle une femme ; il parle beaucoup, elle moins ; il m'envoie plus de message que sa sœur alors que je ne suis presque jamais avec mon portable ; il n'a aucune expérience, je sais qu'elle est douée au lit et pour les relations de couple et ainsi de suite cependant c'est avec lui que je préférerais être.

Je ne m'attends absolument pas à le voir torse nu quand je me retourne et je dois bien avouer que la vue m'enchante. Je sais qu'il ne se trouve pas très attirant mais je peux lui assurer que oui il est très attirant. Il pourrait avoir du succès avec les filles … si il parlait moins. Mais je n'ai pas envie qu'il ait du succès, je le veux pour moi seul même si c'est hypocrite étant donné que je suis avec sa sœur. Il me menace de dénoncer notre liaison et je ne réfléchis pas, je le plaque directement contre un mur sans douceur. Il sait que la douceur n'est pas une de mes qualités. « Pourtant tu rêves d'en recevoir. » je lui balance avec un sourire coquin avant de l'embrasser sans lui laisser le temps de répliquer quoi que ce soit. On n'a jamais été aussi peu habillé alors qu'on s'embrassait et j'ai toujours trouvé le sexe après une dispute merveilleux. Je m'emporte et je le soulève jusqu'à la table où je l'allonge. Je le sens très réceptif, il bouge même son bassin.

Il s'excite bien trop et je ne peux pas prendre sa virginité alors que ses parents, sa sœur et son frère sont ici sans parler du fait qu'il est bien loin d'être prêt contrairement à ce qu'il pense. La première fois est unique et je n'ai pas envie que cela soit provoqué par une dispute. Je recule alors, le laissant clairement voir que ce n'est pas par un manque de désir que je refuse d'accéder à sa requête d'aller plus loin. Il ne connaît pas la vraie raison, je ne veux pas qu'il me voit comme un romantique, j'ai une réputation à sauver. Il se jette sur moi et je crois pendant un instant qu'il va insister pour aller plus loin mais non il me propose un truc qui lui ressemble parfaitement. « Si tu es prêt à te faire couler, gamin. » je lui lance un sourire. Il n'habite pas loin d'un étang mais je ne peux pas sortir de la maison comme ça. Je l'embrasse rapidement et lui dis « Je reviens tout de suite. » je monte dans la chambre de sa sœur où je prends mon jean et un tee shirt noir sans manche en toute discrétion. Je sors de la chambre et descend pour ensuite enfiler mes vêtements. « Alors, prêt Timon ? »

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Tout devenait si brulant et chaud dans cette cuisine entre moi et Terry. Comme à chaque fois maintenant qu'on se retrouvait tout les deux. Cette manière qu'il avait de prendre possession de moi, aimant jouer de sa force. Il me rendait fou et c'est pour cela que je lui en voulait finalement. Même si je n'avais aucune expérience sexuelle, j'avais déjà flirter, de façon innocente avec des filles de mon âge, des gentils baisers et des douces caresses. Mais, avec le policier, c'était toujours presque animal, notre façon de nous dévorer, de nous toucher, nos excitations respectives allant à la rencontre de celle de l'autre. Ou sa manière de me lancer que j'avais envie de recevoir des ordres. Bien-sûr, je n'attendais que cela. Je ne savais pas quel type d'amant je serais dans un lit, mais avec Terry j'avais des envies d'être soumis, de lui obéir aux doigts et à l’œil, quoi qu'il pourrait me demander.

Et, après on devait s'arrêter ! Encore ! Comme dans cette cuisine et même si je pouvais constater que je le laissais pas indifférent. Je m'en fichai. Il n'avait pas le droit de m'exciter comme ça ! Mon sucre d'orge en souffrait le martyr à l'intérieur de mon pauvre sous-vêtement et lui il devait jubiler. Moi, j'ai besoin maintenant de me mettre la tête au frais, petite une bonne douche froide ? Ou j'ai une meilleure idée, et si on allait se baigner dans l'étang juste à côté. Je lui propose et il semble d'accord. Je souris en reprenant le contrôle de mon corps et de ma langue si bien pendue. « Il faudra déjà que tu m'attrapes, le vieux ! » Je suis heureux et je monte m'habiller rapidement dans ma chambre. J'échange mon slip contre un slip de bain et j'habille juste d'un bermuda et d'un tee-shirt. Je veux pas perdre une minute. Je le rejoins en bas. Alors, qu'il me demande si je suis prêt, je passe devant lui en lui donnant une tête derrière la nuque et je m'élance. Pas le temps de parler. Pour moi, tout es un jeu quand je suis avec Terry. Lui proposant ainsi une petite course digestive.

Même si vu mon gabarit d'écureuil, je sais que dans deux enjambées, il m'aura rattraper alors je mise plus sur mon côté filou. Et, dés que je le vois se rapprocher, je ralentis et je lui donne un bon coup de hanche pour le faire sortir du chemin et dégringoler le long de la pente. Quoi ? Tous les coups sont permis non ? Je jubile devant le visage du policier couvert de terre, n'oubliant pas de lâcher au passage. « Alors, quoi ? On marche plus droit ? Il faut arrêter l'alcool, espèce de soulard. » Je reprends ma course de plus belle et j'arrive très satisfait en premier devant l'immense étang. Je commence à retirer mes vêtements, déboutonnant les premiers boutons de mon bermuda, découvrant mon slip de bain qui tombe si bas qu'il laisse apparaitre ma toison de jeune homme en devenir. Mais, je m'arrête de me déshabiller, une jambe en l'air et tenant à peine debout. J'entendis un bruit dans les buissons. J'ai jamais été du genre très courageux. « Arrête...C'est pas drôle, Ty' ! Si c'est toi...Sors...Tu vas finir par me foutre la frousse... » Mon bermuda enlevé et dans ma main, je m'approche du buisson, essayant de me rassurer que c'est juste Terry qui veut se venger en me foutant la trouille de ma vie.

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Quand je pose mon regard sur Dale, je n'ai qu'une envie : lui retirer ses vêtements et lui faire l'amour sauvagement ; mais je ne peux pas, il n'a que dix-sept ans, je suis sûr qu'il n'est pas prêt même si il me dit le contraire et par dessus tout je sors avec sa sœur. J'aime aussi beaucoup l'exciter jusqu'au point où il veut passer à un autre niveau et voir sa tête quand je refuse pour la énième fois, c'est très satisfaisant. On m'a déjà reproché ma façon trop ''animal'' d'embrasser mais je sais que la plupart adore cela de plus cela annonce ma façon d'être au lit. Je sais très bien que le jour où j'accepterais d'aller plus loin avec lui, il sera encore plus vite prêt à aller plus loin que le temps que met Lucky Luke pour tirer. Il a beau dire qu'il n'a pas d'ordre à recevoir de moi, je sais très bien qu'il sera le premier à les exécuter surtout au lit.

Après un baiser devenu bien trop intense, on est tous les deux aussi forme l'un que l'autre. Si quelqu'un de sa famille descend dans la cuisine à ce moment là je suis bon pour être dehors avec un simple boxer et sûrement aussi d'être traité de pédophile violeur de gamin. J'adore le voir avec cette lueur dans les yeux et son slip devenu trop petit pour lui. Si j'écoutais mes envies, je serais encore sur lui et aussi dans lui. Me refuser à lui est une torture mais voir sa tête est aussi un plaisir. Il propose qu'on aille se baigner dans l'étang. Je n'ai pas envie de retourner au lit avec Margaret, je préfère de loin passer du temps avec lui, alors j'accepte. On remonte s'habiller rapidement et on se retrouve en bas, lui dans un tee shirt et un bermuda qui cache son slip de bain.

Alors que je le pourchasse comme un gamin, il me pousse et je me retrouve à dévaler une pente. Je me relève, le corps et le visage recouvert de terre prêt à revenir vers lui quand il me lance encore un pique « J'ai le droit de boire MOI. » je lui réponds. Je ne remonte pas sur la route et je passe entre les arbustes, buissons et arbres pour aller à l'étang. Je compte bien lui faire une belle frayeur pour me venger. Et aussi le couler. Et l'embrasser. Et le caresser. Et encore le couler. Il arrive avant moi, il est en train de retirer son bermuda quand je le vois. Je dois calmer mes ardeurs pour ne pas lui sauter dessus. Je fais un bruit sans le faire exprès et il prend peur. J'ai un grand sourire à ce moment et je bouge discrètement tandis qu'il s'approche du buisson. Je sors discrètement et je suis derrière lui qui avance toujours vers le buisson. Je pose ma main sur sa bouche et je le colle contre mon dos violemment. « T'es pas un peu trop jeune pour traîner à trois heure du matin seul gamin ? » je lui demande, prenant une autre voix, une voix plus rauque. « Tu sais que tu pourrais tomber sur un dérangé ? Ou sur quelqu'un comme moi ? » Je descend mon autre main sur son ventre et je descends lentement. Je m'arrête avant son slip de bain, pour l'énerver encore plus. Je le pousse ensuite et il tombe à l'eau. Une partie de la vengeance faite.

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C'était fou. Il était trois heures du matin et pourtant être avec lui me donnait des ailes. Normalement, je devrais dormir vu que demain j'avais mes cours, mais dés qu'il s'agissait de Terry, la notion du temps, du bien et du mal. Je m'en fichai. Oui, j'étais le pire des petits frères. J'étais tombé amoureux de petit ami de ma sœur. Qui était pour très gentille, mais curieusement j'étais furieusement égoïste et je ne pensais qu'à mon petit bonheur. On dit qu'on oublie jamais son premier amour et moi je n'oublierais jamais Terry, même s'il devait finalement ne plus s'intéresser à moi. Après tout, j'avais 17 ans et il allait en avoir bientôt 25 ans. Nous deux c'était impossible ! Mais, je m'en moquais et je voulais profiter de chaque minute avec lui.

Bien décidé à suivre cette folie du moment, j'avais réussi à nous faire sortir de la maison pour nous rendre à l'étang. Il faisait bon dehors, c'était le début de l'été, l'air été déjà lourd et la ville dormait. On pouvait entendre dans les chemins les grillons, mais aussi ma furieusement envie de gagner alors que j'avais lancé une course entre moi et Ty'. Une course que j'étais prêt à gagner à n'importe quel prix même celui de tricher. J'explosai rire en le voyant dégringoler suite à mon acte perfide. Je l'entendis me dire que je n'avais pas l'âge moi pour boire suite à ma remarque sur sa façon de ne pas marcher droit. J'aurais pu lui répondre quelque chose mais j'étais trop pressé d'arriver le premier. Ce qui fut le cas et je m’empressai alors de me déshabiller, tout en aillant apporter un slip de bain. Impossible de baigner nu avec lui, cela m'aurait rendu fou. Au moins si mon corps montrait quelques excitations. Je pouvais compter sur l'élasticité de mon maillot pour contenir mes possibles excitations. Mais, la vengeance du policier attendait son heure, là dans l'ombre des buissons. Je m'approchai et alors que je tournai le dos. Il sauta sur moi et me ballonna de sa main et heureusement sinon un cri de fillette aurait réveillé toute la vallée. Je le sentis me coller à lui et tout mon corps sembla s'animer contre ma volonté. L'odeur de sa peau contre mon nez, cette effluve corsé d'Homme virile qui me rendait complétement fou. A peine il me parle ou me touche et c'est à nouveau : Ding, Ding, Ding, en contre bas. Une bosse ce forme dans mon slip de bain alors que les élastiques s'étirent et qui me donnent l'impression qu'ils vont exploser. Je ne peux m'empêcher de gémir contre sa main, mais pas trop longtemps car il décide finalement de me jeter à l'eau.

Après un plouf sonore et beaucoup d'eau, je ressors la tête et je ne peux pas m'empêcher de l’insulter copieusement.« Espèce de vieux machin, pervers ! J'ai même pas peur ! Viens si tu es un homme. Tu crois que tu vas me faire avec ton minuscule cure dent ? » Quoi de mieux que de se moquer de la virilité de Terry pour l'énerver. Je le connais. Il est beaucoup trop fier. Je m'éloigne du bord et je l'attends. Je le regarde se déshabiller ne loupant pas une miette, puis dés qu'il met un pied dans l'eau, comme un crocodile je disparais. J'attends patiemment, retenant ma respiration pour pas qu'il me découvre. Puis, quand il s'y attend pas, je nage sous lui et je vais lui mordre violemment le mollet. Niark ! Niark ! Rien de mieux que la vengeance ! Je ressors le sourire aux lèvres.« Beurk ! Cela à goût de vieux ! Tu es vraiment pas comestible ! » Je nage autour de lui tout en prenant de l'eau dans ma bouche et lui recracher au visage tout fier de mes bêtises.

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Abel Freeman & Terry onassis

Me retrouver à trois heure du matin dehors avec un gamin de dix-sept ans me paraît inconcevable sauf quand ce gamin est Dale. Je ne pense pas au réveil difficile dans quelques heures, par chance je ne commence pas à travailler avant treize heure donc je suis assez tranquille de ce côté là contrairement à lui qui doit encore aller au lycée - même pas l'université, le lycée – ce qui montre encore une fois notre différence d'âge, qui est loin d'être le seul obstacle à une hypothétique relation sérieuse et officielle. Je suis bien loin du titre de meilleur petit-ami de l'année, pour commencer je n'aime pas ma petite amie ensuite j'éprouve des sentiments que je n'arrive pas à définir pour un autre qui se trouve être son petit frère avec lequel je la trompe ; je suis vraiment loin de gagner ce titre. Mais avec lui j'ai dû mal à réfléchir avec logique, je me laisse bien plus guider par mes envies que par ma tête et ce n'est pas forcement une mauvaise chose mais pas non plus une bonne chose.

Et nous voilà comme des gamins en train de courir vers l'étang et en chemin je me retrouve à être poussé et à dévalé une pente. J'aurais pu jouer la victime blessée pour ensuite me venger mais je suis bien trop fier pour faire ce genre de chose, même avec une cheville cassée j'aurais été jusque l'étang pour me venger. J'arrive derrière lui par surprise et je plaque ma main sur sa bouche pour éviter d'entendre un bruit très masculin ( soyons honnête, très féminin ) et je me colle à lui. Je vois tout de suite que la situation réveille une partie de son anatomie. Si seulement il savait comment je compte me baigner … Je le jette ensuite à l'eau, le surprenant après mettre bien collé à lui. Avec cette douche froide, il doit être moins excité. « Ta sœur le trouve loin d'être minuscule. » je lui réponds au tac-au-tac sans réfléchir. Il me connaît, on ne se moque pas de ma virilité. Et pis si la mienne est un minuscule cure-dent alors lui … Je retire d'abord mon tee-shirt pour ensuite retirer mon bas et finalement je passe une main sous l'élastique de mon boxer pour le retirer aussi. Je me retrouve donc à poil devant Dale qui ne rate pas une seconde de ce spectacle. Je rentre dans l'eau et je le vois plonger dedans. Cela ne m'arrête pas et je continue de rentrer.

Il me mord et remonte ensuite. Il n'a même pas le temps de finir de parler que je le coule sans lui laisser le temps de reprendre sa respiration. J'attends qu'il remonte et il me crache de l'eau sur le visage. « Dire que je comptais te laisser goûter à quelque chose après … » je dis d'un ton mystérieux et coquin, faisant clairement référence à mon ''minuscule cure-dent'' « mais visiblement tu n'aimeras pas. » Lui dire que j'avais l'intention de passer à l'étape supérieur avant de revenir sur ma décision va forcement le faire réagir et je sais déjà que je vais bien rigoler. En plus je comptais réellement aller plus loin que des baisers sans pour autant aller aussi loin qu'il en a envie.

Bad puppy, don't bite

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Est-ce que c'est vraiment mal ce que nous faisons là, dehors à trois heures du matin dans l'intention de nager dans l'étang ? Oui, bien sûr que c'est mal. J'ai beau avoir que dix-sept ans. Je sais que je devrais être couché et Terry entrain d'enlacer ma sœur. Je déteste cette idée et je veux qu'il m'enlace moi. Je veux pas que la nuit s'arrête même si demain j'ai cours à huit-heures du matin. Je vais encore dormir en classe et c'est mon professeur qui va me taper sur les doigts. Je sais que mes notes ont baissés depuis que je sors en secret avec lui. Je sais que ma sœur et mes parents vont me tomber dessus. Et, moi je vais dire quoi quand ils vont demander : " Bah alors, qu'elle est la raison de ses mauvaises notes ?" Je pourrais jamais répondre un brun ténébreux qui occupe toutes mes pensées et mes fantasmes.

Nous arrivons enfin devant l'étang, comme je l'imaginais il n'y a personne et c'est tant mieux. J'ai clairement envie d'à nouveau tenter de forcer les choses, sous l'eau peut-être que mes mains pourront effleurer certaines parties ? Peut-être en plongeant ma bouche pourrait essayer de s'approcher et tenter de faire ce que j'ai vu dans de nombreux films sur internet. Quoi ? J'essaye de me documenter...Cela va tellement vite avec Terry. Il m'attrape par derrière, je déteste mon corps qui réagit si facilement. Puis, il me jette dans l'eau. J'ai l'impression d'être un ballon de football et je n'hésite pas à faire entendre ma voix et me moquer de sa virilité. Je sais que c'est un sujet qui marche avec lui. Cela ne coupe pas. J'éclate de rire tout en lui balançant de l'eau. « Oui pas devant toi...Mais, je l'entends discuter avec maman dans la cuisine...Et, je cite: C'est marrant le kiki de Terry, on dirait un sexe d'enfant. » Bien sûr, je mens honteusement mais je soutiens son regard. Mais, en le voyant se déshabiller, je suis à nouveau bien puni. Je vois ses doigts s'arrêter sur l'élastique de son boxer. Il va pas le faire ? Non ?

Avec la lune qui se reflète sur l'eau, j'ai une parfaite vision de l'anatomie la plus intime de Ty'. J'en reste bouche bée. C'est la première fois que je la découvre. Je n'en perds pas une miette. Elle est si...L'eau est fraiche et pourtant j'ai déjà les idées si brulante. Heureusement, il rentre dans l'eau et je me venge à lui mordant le mollet. Il se venge aussitôt en me faisant couler et je ressors la tête de l'eau en l'aspergeant d'eau avec ma bouche. En entendant ses paroles, je me rapproche et je m'accroche à lui. « Ah, oui, c'était quoi ? » Est-ce qu'il fait allusion à ce que je crois ? J'étais tellement en feu que je ne sentais plus mes joues. Je passe mes bras autour de sa nuque et mes jambes autour de ses hanches. Je me colle à lui et je vais chercher ses lèvres. J'en ai envie. J'en ai besoin. Puis, quittant ses lèvres délicieuses, je demande tout gêné. « Tu crois que j'aimerais ? ...Et, si je me débrouille mal...Si je suis nul, tu ne voudras peut-être plus être avec moi ? Et, si j'arrive pas à te... » Je voulais dire: Lui donner du plaisir. Mais je pense qu'il m'a compris. C'est vrai que c'est une inquiétude. Je serais peut-être pas quoi en faire, pas lui faire ce qu'il faut ? J'ai peur alors je le serre plus fort dans mes bras.

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Le petit Timon a bien des excuses pour être ici à la place de son lit en train de dormir contrairement à moi qui est à blâmer. J'aurais pu lui dire de retourner dans sa chambre, j'aurais pu aussi commencer par ne pas l'embrasser. Mais je l'ai embrassé et je le regrette vis-à-vis de Margaret et uniquement pour cela. Je devrais être en train de dormir avec Margaret posant sa tête sur mes pectoraux comme elle aime le faire et à la place je suis nu dans un étang avec son jeune frère. Je ne suis même pas au courant de la baisse des notes de Dale et à vrai dire je ne connais même pas les notes qu'il a habituellement. Si il est comme sa sœur, il doit avoir de super note à l'école – après tout Margaret est médecin – mais je le vois simplement avoir des bonnes notes pas des super notes, il n'arrive pas à se concentrer assez longtemps et il parle beaucoup trop.

À chaque fois qu'on se retrouve seul, on s'embrasse et le gamin essaye toujours de passer à un stade supérieur dans notre relation. Une relation que je n'arrive pas à définir. Il est le petit frère de ma petite-amie, il ne devrait être que cela mais il est beaucoup plus qu'un beau-frère qui parle beaucoup trop. Pour le faire arrêter ses faux commentaires sur ma virilité, je me déshabille et si j'avais un sexe d'enfant je peux vous assurer qu'il ne me regarderait pas comme il est en train de le faire. C'est la première fois qu'il me voit dans le plus simple appareil et je le sais. Je n'ai pas l'intention de m'arrêter là … si il arrête avec ses remarques. Il cherche à amoindrir ma virilité alors je cherche à l'exciter et à ne rien faire pour le libérer de sa tension. Son regard brûlant de désir me fait sourire et rebooste mon ego. Dale qui perd sa langue, un moment rare et précieux surtout dans ce genre de situation.

Après l'avoir coulé pour me venger, je continue en lui disant que finalement non on ira pas plus loin que les baisers. Je vois bien à son regard qu'il a parfaitement compris de quoi je parle. Je hoche la tête avec un grand sourire pour lui faire comprendre qu'il a bel et bien compris. Il vient se coller à moi et passe ses jambes autour de mes hanches tandis que ses bras sont autour de ma nuque. Si j'avais autant de contrôle que lui, je serais déjà en train de lui retirer son slip de bain pour entrer en lui. Il me prend par surprise, je n'ai jamais pensé qu'il doutait de ses compétences. Je sais qu'il n'a aucune expérience dans ce domaine et forcement je ne m'attends pas à avoir ma meilleure expérience avec lui … du moins pas la première fois. « Si j'étais avec toi pour le sexe, tu peux me croire quand je te dis qu'on l'aurait déjà fait dans toutes les pièces de ta maison. » ce n'était pas comme si je l'avais déjà fait avec Margaret … d'accord, je l'ai fais. « Et je te guiderais et je suis sûr que tu seras formidable. En plus tu dois avoir plein d'entraînement avec ta main droite. » la fin est pour détendre l'atmosphère même si je suis certain qu'effectivement il sait comment se servir de cette main. Et si lui n'aime pas ? La première fois n'est pas forcement la meilleure après tout et il ne va peut être plus vouloir de moi. Je le pense mais je suis très loin de le dire et pour faire taire nos interrogations je l'embrasse intensément.

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C'est vrai que je doute, déjà si je serais sorti avec une fille de ma classe, cela aurait été le cas. Je pense qu'on passe tous par là. On a pas envie d'être ridicule. Bien sûr, en discutant avec des copains qui ont sautés le pas, je sais que d’après eu c'est pas si grave, et que la première fois entraine une deuxième fois et ainsi de suite et comme on dit c'est en forgeant qu'on devient forgeron. Mais, avec Terry c'est encore plus flippant, déjà nous n'avons pas le même âge. Il doit avoir une expérience de malade et moi j'ai que mes pornos, mon imagination et ma main. J'ai tellement peur de pas être à la hauteur, d'aller trop vite surtout. Oui, vous m'avez bien compris. J'ai pas envie que pour lui je sois le petit jeune qui a balancé trop rapidement la purée...Charmante image, hein ?

Alors, à présent que nous sommes dans l'eau et que nous nous sommes rapprochés, que nos jeux sous la lune qui nous éclaire comme si nous étions en plein jour sont arrêtés. J'ai décidé de me coller à lui, m'entourant comme un jeune louveteau ne pouvant plus me séparant de son corps, mon torse mince mais bien taillé pour mon âge (merci le sport !) contre le sien. Je les sens se claquer l'un contre l'autre suite à nos battements pour ne pas couler. Mes mains glissent dans son dos et je commence à le caresser ne pouvant plus m'arrêter. J'oublie l'heure, le lycée demain, qu'il est le petit copain de ma sœur. Dans cette nature, il n'y a plus que nous deux et rien d'autre. C'est pour cela que je me livre soudainement à lui, je parle de cette peur de ne pas être son meilleur coup. C'est trivial, mais je veux l'être. Je veux qu'il puisse ne plus se passer de moi. Mais, même s'il essaye d'être gentil, sa réponse me fait me poser encore plus de questions. Je frôle de mon nez le sien, laissant une gouttelette d'eau rouler entre nos deux nez juxtaposés. « Et, comment tu vas me guider ? Qu'est ce que tu aimerais me demander en premier ? » Je n'essaye pas d'être sensuel, juste moi. Même si je réalise après coup que mes questions sont très osés.

Mais, je lui fais une confiance absolue et je ne peux que sourire à sa réflexion sur ma relation unique et si particulière avec ma main.« Je te le fais pas dire. Ma main droite peut-être sollicitée au moins quatre fois par jour la pauvre. Bah, tu as été ado aussi, hein !? » Je fonds à nouveau face à son baiser intense. Je me colle plus fort à lui, écrasant complétement mon slip de bain lui. Et, avec Terry, c'est toujours la même chose, mon sang quitte mon cerveau et remplie mon entre-jambe qui va palpiter contre ses abdominaux si puissants. Je ne veux plus quitter ce baiser, mes mains perdues dans ses cheveux. Je m'accroche tellement à lui que nous commençons à sombrer. Je relâche ma pression sur ses lèvres et je souris tendrement contre sa bouche. « Je suis bien avec toi, Ty'...Je voulais te le dire...Je m'en fiche si cela va être compliqués nous deux. Si je suis avec toi...Le reste je m'en fiche. » Je fais glisser ma tête et je vais la caler dans son cou. Je le serre comme jamais je le serrais. Je veux lui montrer que je tiens à lui et que c'est pas juste un béguin d'adolescent. Je le serre jusqu'à en frissonner de tout mon corps.

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J'ai toujours donné l'impression d'avoir confiance en moi même si lors de ma première fois j'avais tout sauf confiance en moi mais cela c'est bien passé et depuis je me suis très largement amélioré dans ce domaine, le faisant encore et encore autant avec le sexe féminin que le sexe masculin. Le lycée est vraiment la meilleure époque … Je connais Dale et je sais exactement les expériences qu'il a eu. Je ne suis pas le premier à l'avoir embrassé mais je suis le premier à l'embrasser de cette façon et j'aimerais beaucoup être son premier même si je peux comprendre qu'il n'attend pas comme je le veux. Après tout il a dix-sept ans et les hormones sont en ébullitions dans son corps et même si il doute de son physique, il est vraiment beau et sexy. Je serais blessé qu'un ou une autre couche avec lui avant moi ( ou même après ) mais on n'est pas réellement ensemble et ce serait hypocrite vu que je couche bien avec sa sœur.

La conversation dérive vraiment trop, je n'aurais pas du lui dire que je comptais aller plus loin et laisser les choses se faire naturellement. Après tout à chaque fois qu'on s'embrasse un peu trop intensément Dale essaye d'aller plus loin, cette fois il aurait suffit que je ne l'arrête pas. Je ne compte pas lui faire l'amour dans cet étang ni même sur le rivage, je veux qu'on soit chez moi pour cela. Pas chez lui parce qu'on pourrait être interrompu par n'importe quel membre de la famille, et par n'importe lequel cela serait grave en plus chez moi j'ai tout ce dont on a besoin. « Tu sais qu'il y a quelque chose appeler mot, je te guiderais avec. » oui je me moque gentiment de lui, surtout qu'il connaît TRES bien les mots, il parle trop. Qu'est-ce-que j'aimerais lui demander en premier ? Il ne peut pas me poser une question comme ça. Je l'embrasse et je nous dirige vers le rivage pour pouvoir bien poser mes mains sur ses fesses sans nous couler. « Tes mains, je te demanderais de les utiliser en premier. » et pour éviter qu'il me pose une autre question je l'embrasse une nouvelle fois tandis que je passe mes mains sous son slip de bain.

« J'avais une copine à ton âge et je ne voyais pas qu'elle. » je lui réponds avec un léger sourire, oui je n'ai jamais été le petit-ami idéal. Peut être qu'en apprenant que je suis infidèle il ne voudra plus de moi ? J'ai tellement essayé de rester fidèle à Margaret et si ce n'était pas Dale je le serais encore. Je le sens durcir une nouvelle fois, le pauvre va encore avoir besoin d'une douche froide. Sauf si … devrions-nous aller plus loin ? Après sa déclaration, je prends une de ses mains que je descends pour la faire entourer ma virilité. Je le regarde et lui souris, le laissant faire comme il le sent. « Aïe confiance en toi. »

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Est-ce je savais que cela irait enfin un peu plus loin ce soir dans cet étang avec Terry ? Je serais hypocrite de dire qu'en tout cas je l'espérais pas. Mais, j'étais un ado, je pensais au sexe constamment. C'est pour dire. Quand je vois ma mère éplucher des carottes pour le repas, je pense au sexe. Je vois le postier glisser le courrier dans la fente de notre boite aux lettres, je pense au sexe. Alors, aprés la question est-ce que je suis un pervers ? Je sais pas. Je dirais que je suis forcément curieux de ce je connais pas. Maintenant, j'étais aussi honnête avec Ty', j'étais bien avec lui et si nous nous étions juste embrassés sous le clair de lune cela m'aurait convenu. Après tout, comme on en avait parlé il y a quelques secondes auparavant, c'est pour cela que la masturbation a été inventé, pour bien pouvoir expulser toutes les mauvaises tensions qui peuvent s'accumuler.

Pourtant, la chaleur et la tension commencent à monter dans l'étang, surtout de mon côté, et je montre sans grande surprise à Terry toute l'excitation qu'il déclenchait chez moi. La conversation dérive et que je lui demande ce qu'il me demandera lors de notre première fois. Il fait de l'humour et je ne peux que rebondir sur sa réponse qui me fait rire contre ses lèvres tout en quittant pas ses magnifiques yeux, des billes sombres qui me troublent complétement. « Espérons alors que ce soir là, tu sois pas bourré...J'aimerais pas me retrouver à faire des trucs bizarres qui peuvent trainer dans ta caboche de pervers. » Je plaisante et pourtant je suis à moitié sérieux. Je le connais bien à présent, deux ans c'est pas rien même si on se voit jamais en continue. Mais, il y a cette part que je ne connais pas de lui. Peut-être qu'elle ne me plaira pas. Car, comment est Terry dans un lit ? Je sais que je suis prêt à faire tout ce qu'il me demandera...mais je dois dire que je suis curieux d'enfin découvrir cette part.

Je le sens m'embrasser et me soulever pour nous sortir de l'eau. Je me sers plus fort contre ses bras puissants. Et, je hoche la tête pour répondre à son affirmation qu'il me ferra utiliser mes mains en premier. J'ai hâte, même si j'étais loin de me douter que le moment était bien plus proche que je le pensais. Je frémis avec sa main dans mon slip de bain. Je le regarde avec des grands yeux. Mon sucre d'orge semble très content de cette rencontre. J'apprends qu'il a trompé sa copine. Je peux pas lui jeter la pierre, mais je demande quand même. «  Tu penses que je devrais faire des rencontres en dehors de toi ? Pour augmenter mon expérience ? » Je le sens nous coucher sur le rivage et surtout je sens sa main descendre sur ce que je n'osais approcher. J'entoure mes doigts tout frémissant autour de sa virilité et je fonds sur ses lèvres. Je veux pas le faire hésiter. Je veux pas lui poser des questions débiles. Juste me taire et profiter. Ma main commençant à léger mouvement de va et vient tout en gémissant contre sa bouche. Je me sens m'enfoncer dans le rivage. Je suis bien, ma propre virilité plus mouillée que jamais dans la main de Terry.

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Je n'avais absolument pas prévu d'aller plus loin que des baisers ce soir mais je me laisse porter par mon désir, j'arrêterais avant d'aller au trop loin mais pour le moment on est encore là du maximum que je peux autoriser pour ce soir. Et pis ce n'est pas comme si on pouvait tout faire ici, on est à la vue de tous, on n'a pas de capote et on n'a pas de lubrifiant non plus. Je sais bien que le sexe occupe ses pensées à chaque instant, j'étais pareil à son âge mais contrairement à lui ce n'est pas tout seul que je libérais mes pulsions sexuelles. J'ai bien du me taper les trois-quart de mon lycée à cet époque contrairement à lui qui n'a eu qu'un seul et unique compagnon : sa main droite. Je me moque souvent gentiment de lui pour ça même si je détesterais que sa virginité soit perdue avec quelqu'un d'autre que moi, je veux être le seul et je veux aussi être l'unique homme à le toucher ainsi.

« Tu aimerais mes ''trucs bizarres''. » je lui réponds avec un sourire et avec certitude. Je le connais, il testera tout ce que j'ai envie, c'est un grand pouvoir que j'ai sur lui mais je ne compte pas en abuser, contrairement à ce qu'il peut imaginer dans ses fantasmes, je ne suis pas très gadget ni même pervers dans ce domaine, j'aime simplement avoir le contrôle de la situation. Je serais capable de le faire jouir avec mes mots si je lui décrivais la façon dont je compte lui faire l'amour la première fois ou encore la façon dont j'ai envie qu'il goûte au plaisir d'être actif. Faire jouir avec des mots ce grand parleur pourrait être drôle à voir. Je me demande si sa sœur lui a déjà raconté comment je suis au lit, ou si simplement il a entendu une conversation que Margaret aurait pu avoir avec une autre personne à propos de notre vie sexuelle. Je suis assez bestial au lit même si je sais me montrer plus tendre et doux, ce que je serais lors de notre première fois ensemble et sa première fois à lui. Je ne peux pas foncer tête ( enfin pas vraiment une tête ) baissée dans un vierge.

Je caresse ses fesses avec plaisir et ma main droite dérive sur l'avant de son corps pour prendre en main son membre et lui donner un va et vient pour lui donner du plaisir. Je le sens aussi entamer un va et vient qui me fait beaucoup de bien. Il a vraiment de l'expérience avec sa main ce petit. Je le regarde quand il me demande si il doit – même pas peut mais doit ! - aller voir ailleurs pour augmenter son expérience. Si mon regard de tueur psycopathe n'a pas suffit à lui faire comprendre qu'il n'a surtout pas intérêt je lui dis « Tu ne vas pas voir ailleurs. Je suis le seul à pouvoir te toucher comme ça. Je suis le seul à pouvoir te faire l'amour. Tu as compris Timon ? » ma voix est autoritaire, presque froide même tellement je me contrôle pour ne pas lui hurler dessus. J'embrasse son cou et lui demande d'aller plus vite tandis que j'accèlère moi aussi mon mouvement de poignet.

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Je ne sais vraiment pas si c'était prévu dans sa tête ce que nous sommes entrain de faire prêt de l'étang. Je suis perplexe avec lui et je vais soudainement très loin en allant me dire qu'il avait tout prévu. Ou alors c'était un cadeau pour ma bonne conduite ? Ou tout simplement sa façon de se laisser aller ? J'ai beau n'avoir aucune information sur ce que peut-être Terry au lit. Mon imagination, elle, elle en a imaginé des choses. Je le vois pas pervers – même si je connais vraiment rien dans ce domaine, sauf les quelques vidéos étranges que j'ai pu voir trainer sur des sites. Je le vois plutôt direct et très bestial, et rien que cette idée m'excite beaucoup. Combien de fois, ma main et moi, nous l'avons imaginé rentrer d'une journée épuisante, nous plaquer contre le mur et nous faire l'amour tellement fort qu'on en aurait craquelé les peintures. Mais, même si nos galipettes occupent mes pensées, je veux tellement lui dire qu'il est bien que cela pour moi. Il est premier mais j'ai tellement envie qu'il soit le dernier. J'ai vraiment envie de construire quelque chose avec Ty', mais je vais peut être trop vite ?

 « Je te dirais et si cela me plaît pas je te mordrais... » En parlant de ses fameux trucs bizarres. Toutefois, j'ai entièrement confiance en lui. J'ai envie de tester tellement de choses. C'est vrai que je pourrais pas dire que je me voyais pas "subir" dans un premier temps. Mais, j'espérais aussi voir si je serais doué pour "donner". Tellement de choses à faire et à découvrir avec Terry. J'en suis émerveillé, abasourdi et excité. Comme notre façon de nous blottir là, l'un contre l'autre, moi sur le dos et lui au-dessus de moi. J'ai l'impression de disparaître dans l'herbe humide. Pourtant, nous sommes entièrement visible, mais qui viendrait se promener par ici à trois-heures du matin ? Nous nous caressons. Nous nous embrassons. J'aime sa façon de me toucher et je me laisse aller à lui caresser le dos. Il est immense et mes mains me donnent l'impression d'être minuscule. Je gémis dés qu'il me touche. Je cambre les reins quand il me frôle les fesses. Mes envies de "subir" plus forte que jamais. Tellement excités par l'un, l'autre, que nos mains sont comme attirés par notre bassin, aimant donner du plaisir à la virilité de l'autre.

Je ne peux m'empêcher d'étouffer mon rire face à ses yeux de tueur, comme si je venais de dire la pire des idioties. Mais, moi tout ce que j'entends de sa bouche, c'est pas des menaces, c'est de la jalousie et je trouve cela adorable. Bien sûr, que je suis à lui et cela le premier jour ou j'ai déposé mes lèvres sur les siennes il y a un an à Halloween. Mais, mon caractère ne peut m'empêcher de le chercher.«  Je comprends...Mais, si tu arrêtes de me toucher alors je peux aller me faire toucher par d'autre, non ? » Je fais exprès de prendre un air bête et je sais bien le faire. Quelque chose de taquin, mais de mignon. Nous sommes si bien, que je ne veux pas faire démarrer une crise. Je lui mordille l'oreille et j’obéis à son ordre qui me dit d'aller plus vite. Mon mouvement devient saccadé. Je sens sa virilité palpiter dans ma main, la mienne n'est pas en reste. Mon oreille croit percevoir un bruit au loin, mais je me dis que c'est le vent. Tout mon corps se crispe alors que mon esprit a envie de prononcer certains mots. Vais-je trop loin ? Terry m'a dit de me faire confiance alors je glisse à son oreille.  «  J'ai envie de te faire monter, Terry...Je veux que tu....dans ma main.»

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Je n'ai rien prévu de tout cela, je suis simplement descendu pour venir boire un verre d'eau avant de remonter et me recoucher. Mais Dale était en bas, Dale ne portait pas grand chose et surtout Dale est Dale. Je n'ai évidemment pas résister à l'envie de l'embrasser, une envie à laquelle je ne résiste plus depuis Halloween. Je n'ai pas non plus prévu d'aller à l'étang – après tout c'est Dale qui a proposé cela. Je n'ai pas non plus prévu de le laisser poser ses mains à un endroit qu'il désire depuis un moment. Je n'ai donc rien prévu et je me laisse porter par mes envies cependant le laisser croire que j'ai prévu cela ne me gêne absolument pas. Je ne sais pas non plus à quoi m'attendre avec Dale, je n'ai aucune idée quel genre d'amant il est, mais j'ai hâte de le découvrir. Si je voulais l'énerver, j'aurais juste à lui demander si il est comme sa sœur au lit mais cette nuit je n'ai pas l'intention de l'énerver. Avec son caractère, il serait capable de me laisser en plan ici et de fermer la porte à clé ce qui m'empêcherait de rentrer même si il sait que je me vengerais de lui.

Me mordre ? Si il tient à sa vie, il ne devrait même pas essayer surtout si il mord ce que je pense qu'il pense. J'ai bien envie de tester des choses avec lui et aussi de lui faire découvrir tout ce que je sais. J'ai plus d'expérience avec la gente féminine mais j'ai aussi eu pas mal d'amant – ce que Margaret sait et a du mal à accepter d'ailleurs, craignant que je me lasse des femmes pour aller vers les hommes … plutôt à juste titre vu ma relation avec Dale. Je ne suis pas pudique mais je ne suis pas pour autant exhib' cependant il est trois heures du matin et il n'y a aucune raison qu'on nous trouve ici dans une position compromettante. Peut être aussi que la peur de se faire surprendre l'excite.

Il fait l'idiot exprès, je sais qu'il est plus intelligent que cela. Je ne serais pas occuper à caresser ses fesses d'une main et son entrejambe de l'autre, je lui frapperais sa tête. « Tais-toi Timon. » je lui ordonne et si il tient à ce que mes mains continuent alors il va m'obéir. Essayer de me rendre jaloux alors que j'ai sa virilité entre ses mains peut être dangereux pour lui, aussi bien parce que je pourrais partir comme je pourrais le serré trop fort. Il accélére le mouvement de sa main, comme je lui ai demandé, et je me sens plus que bien. Bien mieux qu'avec Margaret il n'y a pas si longtemps. L'adolescent se la joue coquin en plus avec ses mots. Mais j'entends un bruit, un bruit de pas. « Merde. » Je dis avant de le lâcher « Quelqu'un arrive, rhabille-toi » et essaye de cacher ton érection aussi … je prends rapidement mes affaires et je pars me cacher dans un buisson où je me rhabille en vitesse, gardant un œil sur Dale tout en restant caché. C'est un adolescent qui arrive et qui semble un peu trop apprécier le corps de MON homme. Un bruit animal sort … on se demande pourquoi. « Hé Timon ! Tu fais quoi ici … et à poil ? » Ses yeux sont remplis de luxure, si jamais Dale répond à son flirt, il va pouvoir rêver pour aller plus loin que des baisers pendant un long moment. « Je peux te rejoindre ? » Un autre bruit animal …

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Abel Freeman & Terry onassis

J'adore l'énerver. C'est la première chose qui m'a toujours plu dans notre relation. Cette façon que nous avions de nous chercher, de nous titiller, moi avec mes surnoms, mes blagues débiles à mettre du sel dans son café, à tartiner les jeans qu'il laissait à la maison de confiture ou de nutella. Je n'attendais que cela, sa façon de me courir à travers la maison en me hurlant qu'il allait me tuer, puis cette fameuse tape derrière la tête, même si des fois j'aurais mérité pire. Peut-être cela qui lui a plu chez moi ? Mais,  j'adorais ses grands yeux sombres comme un loup prêt à me dévorer. Ne pouvant parfois plus m'en passer et poussant le bouchon toujours plus loin. En même temps, c'est ce qui nous a aidés, non ? S'il ne m'avait pas énervé, je l'aurais pas embrassé il y a un an à cette fête d'Halloween et il ne m'aurait peut être embrassé en retour dans ce canapé ? Par contre, ce que je n'étais pas, c'était méchant. Il était hors de question de mettre Terry dans une posture déplaisante avec son travail ou ma famille. Non ! On pourrait ne pas le croire, mais je suis un vrai ange (même si je bouillonne intérieurement) quand nous sommes tous à la maison et que ma sœur ne peut s'empêcher de tenir la main de l'agent de police en toutes circonstances. Je ne fais aucune réflexion, aucun regard louche. Je tiens trop à lui pour lui faire du mal, alors je préfère souffrir et sourire devant les gestes tendres, comme un petit frère doit l'être.

Mais, dés que nous sommes tous les deux, je me lâche et je sens que je pousse à bout (gentiment) Ty'. Je le vois dans son regard, dans ses gestes sur mon corps et ma virilité plus rythmé, comme s'il essayait déjà de me punir. Il me demande de me taire alors j'accélère le mouvement avec ma main et je glisse jusqu'à ses lèvres. «  Fais-moi me taire si tu l'oses. » Un sourire sadique et coquin alors que je prends de plus en plus d'assurance. Je mets cela sur le compte de l'excitation. Il faut dire que tout est si beau, que quelques secondes de plus et c'était l'accident entres les doigts si agréables de celui que j'ai envie d'appeler mon «  Homme ». Mais, un bruit de pas qui se rapproche fait sauter Terry loin de moi. Je suis tellement groggy par le moment si agréable que nous venons de partager que j'ai du mal à émerger. Je souris tout bêtement, jusqu'à voir vraiment quelqu'un s'approcher. «  Et ! Attends-moi. », lâchai en peinant pour me relever. Terry est déjà loin dans un buisson. Moi, j'ai à peine le temps de rouler en boule mes affaires pour cacher l'impensable que je suis obligé de faire face à l'inconnu en espérant que cela soit ni un violeur, ni un serial-killer. Avec mon humour, j'ai presque envie de sortir : « Je suis trop jeune pour mourir », mais je me contiens.

Et, c'est bien pire ce qui se présente à moi. C'est Danny Opkins presque aussi déshabillé que moi, ne portant qu'un bermuda de bain. Danny est officiellement dans mon lycée le jeune homme qui se tape tout ce qui bouge, fille, garçon, peut-être même chien sauvage, va savoir. Non, je suis pas jaloux. Je suis admiratif. Lui il a confiance en lui et c'est pour cela que personne ne lui résiste. Mon cerveau panique alors que je sens et que j'entends Terry dans son buisson.« Ce que je fais ici ? Heu ? Je pourrais te retourner la même question ? Tu sais le coin nudiste ou partouze c'est par là-bas. Et techniquement je suis pas à poil, j'ai un maillot. Je voulais le tester tu vois en toute discrétion avant l'été. Je voulais pas, tu vois, qu'il me boudine ou que j'ai l'air ridicule à la plage...Bon, bah c'est parfait. Test concluant. Je vais rentrer maintenant. Non, pas la peine de me raccompagner. On se voit demain... » Je veux m'échapper, mais en commençant à marcher mes affaires glissent de mes mains. Je me trouve encore plus bête et surtout avec une très belle érection. Ce qui semble ne pas gêner Danny qui commence à enlever son bermuda et me demande s'il peut me rejoindre. Je saute littéralement sur lui, ou plutôt mes mains et je retiens son bermuda de mes deux mains.« Non...Tu peux pas me rejoindre...J'ai vu un crocodile. Oui un énorme crocodile dans l'eau. Je veux pas que tu perds un bras ou un truc du genre. Tu devrais rentrer chez toi, sincèrement c'est super dangereux comme animal. Un jour mon oncle... » Je parle et Je parle. Normal, quand je suis extrêmement gêné, je deviens un vrai moulin à paroles.

Bad puppy, don't bite

Abel Freeman & Terry onassis

M'énerver fait vraiment parti des passe-temps favori de Dale et il est très doué dans ce domaine. C'est blague de gamin m'énervent à chaque fois et je rentre dans son jeu en le poursuivant ( la poursuite dure peu de temps néanmoins ) pour ensuite lui claquer sa tête ou le plaquer contre le mur ou alors le menacer de lui trancher la gorge avec mes dents. Je suis sûr que la première fois que j'ai sorti cette menace, il m'a cru. J'ai même passé un accord avec son père, je peux lui faire passer une nuit en garde à vue sans que sa famille vienne le chercher, il ne le sait pas encore et je compte garder cet atout dans ma manche. Mais c'est grâce à cela qu'on se connaît autant et qu'on a eu notre premier baiser. Je comptais lui foutre la honte devant ses amis et il a eu comme défi de m'embrasser. J'ai tout de suite vu et senti qu'il a apprécié bien plus le baiser qu'il l'a laissé entendre et j'en ai profité pour l'embrasser un autre jour. Voilà comment notre relation a débuté. J'essaye d'être le moins possible tactile avec Margaret mais c'est un vrai pot-de-colle qui adore prendre ma main ou se serrer contre moi et même mes soupirs ne changent rien.

Dale prend de l'assurance et j'aime beaucoup ce côté de sa personnalité, j'aime le voir confiant et aussi sentir sa main là. Il veut que je le fasse taire ? Je vais le faire taire alors. Je place trois doigts dans sa bouche « Entraîne-toi le puceau. » Il m'a cherché, il m'a trouvé. Malheureusement ce moment si délicieux ne peut pas durer plus longtemps non pas à cause de Dale qui a atteint ses limites ( et je ne l'aurais pas suivi de loin je dois avouer ) mais parce qu'il y a un put*** de marcheur à trois heures du matin près de l'étang ! Je me déplace rapidement et efficacement, le laissant ainsi avec une érection fulgurante – et que j'imaginais plus petite aussi – tandis que je me retrouve derrière un buisson en train de me rhabiller. Si c'était un homme ivre ou un tueur, je viendrais à son secour évidemment mais je ne peux pas risquer de me faire surprendre avec le frère mineur de ma copine.

Le marcheur se trouve être un gamin du lycée de Timon. Un gamin super sexy en tout cas, ils prennent quoi les jeunes maintenant ? J'en ferais bien mon quatre heure … Mais Dale dégage quelque chose en plus qui le rend bien plus attirant à mon goût mais jamais il n'entendra ses mots sortir de ma bouche, je ne suis pas un romantique … Danny essaye de se déshabiller ! Je vais devoir intervenir. Je vois Timon se rapprochait et mettre ses mains sur son bermuda ! Mon rythme cardiaque accèlére mais j'entends ses mots et je sais que c'est pour l'empêcher de se déshabiller. « Alors on peut toujours rester ici. Toi, moi, la lune et du sexe, ça te dit ? » Je vois rouge. Je sors du buisson en faisant le maximum de bruit possible. « Timon ! Ca fait des heures que ta sœur et moi on te cherche, rentre à la maison. » Je m'approche des deux adolescents et surtout de Danny avec un regard menaçant « Tu t'approches encore une fois de lui et je te mets en taule, compris ? » Il ne comprend pas ce qui lui arrive et hoche de la tête pour dire oui avant de partir. « L'école à domicile, ça te dit ? »

Bad puppy, don't bite

Abel Freeman & Terry onassis

Je sais qu'on prend de plus en plus d'assurance moi et Terry. Et, j'aime le sentir contre moi de cette façon. Cela peut paraître pervers et effectivement dans l'air l'envie de l'autre plane. Comme dirais mes potes de mon club de natation qui sont bien moins fleuris que moi: "Cela sent le sexe !" Cependant, je sens aussi tout autre chose avec lui au-dessus de moi. Je me sens bien. Nos deux mains dans l'entre-jambe de l'autre, je pourrais l'avoir avec beaucoup de jeunes de mon âge. Mais, c'est pas avec eux que je veux faire cela, c'est uniquement avec lui. Il me rend fou...fou amoureux de lui. Mais, c'est un point plus grave que je ne veux même pas aborder ici. Non, je ne suis pas romantique et je pense pas que nous ayons besoin de cela. Moi, en tout cas je ne demande rien (ou presque) à Terry. Je suis tout simplement bien avec lui.

Je peux pas croire à la suite. Ty' à toujours su me surprendre mais là quand il enfonce ses trois doigts dans la bouche. Il me coupe littéralement le sifflet. Je suis à la fois choqué, amusé et terriblement excité par la situation. Ce sentiment dans le creux de mon ventre, qui oscille entre lui mordre les doigts violemment comme un loup affamé et lui lécher. Après tout, je me suis entrainé plusieurs après-midi seul avec des bananes. Bah quoi ! Vous vouliez que je vole les sex-toys de ma sœur ? Heu et quoi encore ? C'est limite incestueux votre truc. Moi, tout ce qui touche ma sœur de prêt ou de loin. Je touche pas. Bon, sauf Terry, mais bon lui il faudra tout simplement bien le laver au désinfectant, c'est tout. Mais, j'ai le temps de rien faire, car nous sommes bientôt surpris et obligés de prendre la fuite. En tout cas, pour lui car moi je me retrouve comme un idiot devant un camarade de classe. Pas des moindres, Danny, avec ses tablettes de chocolat qui font saliver toutes les filles.

Moi, je dois dire que je n'ai envie que de dévorer celles de Terry. Danny a beau être très beau et séduisant. J'ai le policier dans la peau. Je mange, je dors et je respire Onassis. Mais malgré cela ses approches plus que directes me mettent dans tous mes états (de panique). Je le vois bien dans son regard qu'il se dit qu'il va pouvoir se taper le jeune Freeman ce soir. Je suis même obligé de m'approcher pour qu'il n’enlève pas son bermuda. Danny commence à me caresser les mains et me fait soudainement rougir jusqu'aux oreilles. Terry sort de sa cachette. Je sursaute, essayant de jouer la surprise. « Oh ! Non ! Mon futur beau-frère, cruel et vilain. Comment tu m'as trouvé ? » Je termine alors de m'habiller, profitant du petit moment entre lui et mon camarade. Ce que je trouve diablement sexy, je dois dire. Nous avons repris le chemin vers la maison, alors je termine de remettre mon haut. J'attends quelques secondes qu'il se calme et que nous soyons à nouveau seul pour lancer avec humour. « Je crois que j'ai une touche avec Danny...D'un côté, tout le monde à une touche avec Danny. Mais bref, tu crois que je devrais l'inviter à dormir pour un week-end pendant... » Je lui donne un coup de poing dans l'épaule et je me mets à courir. « Que tu taperas ma sœur dans toutes les positions possibles et imaginables ? »

Bad puppy, don't bite

Abel Freeman & Terry onassis

Je ne veux pas baiser Dale, je veux lui faire l'amour, pour certains il n'y a pas de différence mais je peux vous dire que j'en vois une grande. Dans le premier cas je ne pense qu'à mon plaisir et celui de l'autre est le dernier de mes soucis. Dans le second cas le plaisir de l'autre est primordial et le mien passe après. Ensuite, je revois rarement ceux du premier cas alors que Dale j'ai envie de le revoir encore et encore. Je ne sais pas comment j'ai fait pour m'attacher autant à ce gamin qui parle beaucoup trop en théorie pour me plaire et qui est encore trop jeune pour que je tente quoi que ce soit. Cette nuit, même si j'ai envie d'aller plus loin, on n'ira pas plus loin que nos mains s'occupant de l'autre. Enfin si il continue de parler, je vais aller un tout petit peu plus loin juste pour occuper sa bouche à autre chose que parler pour m'énerver et non parler pour m'exciter.

Et me voilà avec trois doigts dans sa bouche pour le faire taire. Il commence vite à s'entraîner cependant et visiblement ce n'est pas son premier entraînement. Il n'aurait quand même pas ? Dale aurait … non, je l'aurais su. Mais on est bien trop rapidement interrompu pour que je puisse lui poser la question ou être certain que c'est un coup de chance. Quelqu'un arrive et je déguerpis à vitesse grand V, restant tout de même proche pour aller à son secours au cas où. C'est un adolescent de l'âge de Timon qui arrive. Un adolescent super sexy quand même et il doit le savoir pour se balader torse nu ainsi et faire du rentre dedans à Dale ! Dès que j'en aurais l'occasion, je coffrerais ce gamin et je lui ferais passer une bonne nuit en cellule de dégrisement où l'odeur répugne n'importe qui.

Au moins Dale lui fait comprendre qu'il n'est pas intéressé mais cela n'arrête pas Danny qui continue de le draguer et ses intentions sont claires comme du cristal : du sexe et rien d'autre. C'est trop pour moi. Je sors de ma cachette, rhabillé bien sûr, et j'arrête de suite le petit jeu de Danny tout en profitant d'être là pour le menacer. Les gens savent que je mets mes menaces à exécution, je ne suis pas un tendre. Une fois de nouveau seul – et tout envie coupé de mon côté – Dale continue de me chercher. Et si je lui remets trois doigts dans la bouche ? Je lui cours après et je l'attrape rapidement. Je le maintiens fortement, ne lui laissant aucune chance de se défaire de mon emprise. « Tu l'invites et je te fais écouter tous les détails de ma vie sexuelle avec ta sœur. » une vie sexuelle qu'il pense aventureuse visiblement sauf que je n'ai le droit qu'à deux positions différentes ( quand je suis chanceux ) et je dois faire tous les efforts pour rendre cela bon. Elle était bien plus aventureuse au début de notre relation. J'espère que ce n'est pas un trait de famille. « Et si jamais ça ne suffit pas, je me le tape et l'empêche de venir te voir. Entre toi et moi, qui il va choisir tu crois ? » il a beaucoup moins confiance en lui qu'il le devrait mais j'ai vu le regard de Danny avant que je le menace et il a des tablettes de chocolat super sexy.

Bad puppy, don't bite

Abel Freeman & Terry onassis

Je ne sais pas si c'est l'air, cette lune gibbeuse dans le ciel si noir, cette petite escapade dans l'eau si fraiche ? Mais, je me sens d'humeur taquine et surtout plutôt douce. Ce que je suis presque jamais avec lui. Nos baisers sont pas violents, cependant ils sont toujours intenses. Depuis que nous nous voyons en cachette nos corps ne peuvent s'empêcher de sauter sur l'autre, de nous plaquer contre le torse de chacun comme si nous étions des aimants. Une journée sans voir Terry c'est comme si on me broyait le cœur. Déjà, le monde est toujours plus triste quand je n'ai pas ma dose d'Onassis. Comme ces soirs,où il est appelé par le central et qu'il n'a pas le temps de venir dîner. Je broie du noir tout seul dans mon coin, recroquevillé dans notre canapé au point que ma famille me pose toujours un milliard de questions et j'ai la réponse qui permet d'avoir le calme: " C'est une fille au lycée..."

Après l'épisode de Danny prêt de l'étang, ma gêne qui s'efface face à la façon de Terry de sortir de sa cachette et faire preuve de jalousie (qu'il n'admettra jamais). Tout cela me faire sourire et me fait un bien fou. Car, je sens qu'il tient à moi en tout cas jusqu'à que j'essaye à nouveau d'entamer une nouvelle course entre nous pour rejoindre la maison. Je le sens m'attraper et me maintenir avec force. Il faut dire que je l'ai cherché encore en proposant d'inviter Danny un week-end. Je me plonge dans ses yeux et je me plains même pas de la pression sur mes bras. C'est douloureux, mais cela m'émoustille complétement.« C'est dégoutant ça, Ty' ! C'est ma sœur, quand même. » Car j'ai clairement pas envie d'entendre les détails de leurs vies sexuelles. Puis, ce qu'il me dit en dernier me blesse terriblement. Il n'a pas intérêt à " sauter " Danny. Je le regarde avec colère et résolution. « Si, tu couches avec lui, je t'adressais plus jamais la parole Terry Onassis et tu seras mort pour moi. Je t'en fais la promesse. » Il a le droit de faire ce qu'il veut de son manche. Nous nous sommes fait aucune promesse, mais qu'il en assume les conséquences.

Puis, je me mords la lèvre inférieure et mon regard se fait plus doux. Peut-être car je veux pas qu'on reste sur cette note ? Et, surtout car...Je remonte légèrement sur ma pointe des pieds et je fais déposer un baiser sur les lèvres de Terry. « Tu sais...Ce soir, c'est comme si nous avions eu notre premier rendez-vous...» Je suis tout émoustillé par cette révélation qui trotte dans ma tête depuis que nous avons quitté l'étang. Je sais que dans quelques minutes nous allons quitter les bois et devoir nous comporter comme avant. Je détache alors de mon poignet mon bracelet indien que je garde sur moi depuis des années. « Et, normalement, on donne quelque chose lors de ce premier rendez-vous...» Je plonge ma main dans la poche du bas de Terry. Je laisse mon bracelet au fond de sa poche et j'ajoute de ma voix troublée par mon geste:« Comme cela, tu auras toujours une partie de moi sur toi...Je dirais à ma sœur que je l'ai perdu si elle me pose questions. Et, comme ça, si elle le trouve un jour dans tes affaires, tu auras qu'à dire que tu l'as retrouvé et que tu allais me le rendre...» En plus il a mon odeur ! Je ne sais pas s'il va accepter. Je reste prêt de Terry, angoissé par sa réaction. C'est très romantique ce que je viens de faire et en même temps dangereux pour notre secret. Cependant, là dans cette seconde, mes yeux pétillant et ma bouche en cœur j'ai envie d'être romantique.